ASTERIX AUX JEUX OLYMPIQUES - 2007

Titre VF ASTERIX AUX JEUX OLYMPIQUES
Titre VO
Année de réalisation 2007
Nationalité France
Durée 1h57
Genre COMEDIE
Notation
Date de sortie en France 30/01/2008
Thème(s)
Gaule et Gaulois
Druides (tous pays confondus)
Personnages de bande dessinée (Cinéma français)
Jeux Olympiques (tous pays confondus)
César (Jules) (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
LANGMANN Thomas FORESTIER Frédéric
Chef(s) Opérateur(s)
ARBOGAST Thierry
Musique
TALGORN Frédéric
Renseignements complémentaires
Scénario : Olivier Dazat,
Alexandre Charlot, Franck Magnier
et Thomas Langmann .....
d'après la bande dessinée d'Albert Uderzo
et René Goschinny .....
Distribution : Pathé Distribution

Visa d'exploitation : 115 670

Nota : pour Pierre Tchernia, uniquement la voix (narration) .....
Acteurs
CORNILLAC Clovis
DEPARDIEU Gérard
POELVOORDE Benoît
ROUSSEAU Stéphane
HESSLER Vanessa
CASSEL Jean-Pierre
ASTIER Alexandre
DELON Alain
THOMAS Elrik
JEMMA Dorothée
DUBOSC Franck
SIM
KAREMBEU Adriana
GOMEZ Eduardo
LE BANNER Jérôme
LANNERS Bouli
HERBIG Michael
SEGURA Santiago
GARCIA José
JONES Nathan
BIZZARI Luca
DE GROODT Stéphane
ZIDANE Zinédane
LALANNE Francis
SEMOUN Elie
MAURESMO Amélie
PARKER Tony
KESSISOGLU Paolo
NAVARES Inigo
MOSCA Arsène
DEBBOUZE Jamel
CASTALDI Jean-Pierre
BRILLANT Dany
SCHUMACHER Michael
TODT Jean
OVERHAART Arnold
BOON Dany
CRUZ Monica
ASTIER Lionel
THIBAUD Patrice
BARC Jean-Christophe
MENOU Roland
MOSCATO Vincent
DEPARDIEU Delphine
KRASNOBOROV REDWOOD Michail
ROWLAND Kelly
TCHERNIA Pierre
OUDJAIL Malek
Résumé
Afin de permettre les épousailles entre la princesse Irina et le jeune Alafolix, nos deux compères, Astérix et Obélix
doivent impérativement gagner les Jeux Olympiques .....
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéro 565
- Annuel Cinéma 2009
Critiques (Public)
Décevant presque affligeant, "Astérix aux jeux Olympiques" se traîne péniblement en cent cinq minutes d’images au bord du gouffre. Pas de récit structuré, uniquement des numéros d’acteurs sans aucun risque, blindés de numérique. Comédiens qu’il faut parfois savoir déceler dans ce bric à brac de scénettes lourdes et insignifiantes. Clovis Cornillac, relégué au rang de support technique, par un Benoit Poelvoorde fou furieux incontrôlable et trop débridé, n’est plus qu’un fusible épisodique, dynamisé le temps d’une scène presque sans intérêt. L’anachronisme tissé dans tout le film n’est pas du meilleur goût. "Le clan des siciliens" et "Que je t’aime" mènent l’ensemble à la frontière de la débilité. La scène où Brutus triche lamentablement dans une course de relais, est représentative de l’essence d’un produit au parcours pitoyable, sans esprit de recherche. On ne peut pas dire que les méninges se soient triturées dans l’élaboration d’un tel opus. Quelques mimiques d’Alain Delon, officialisant un statut narcissique, maintiennent pendant quelques rapides secondes le contenu hors de l’eau. Bref, un détour est souhaitable, plutôt que d’ingurgiter une ambiance facile, bourrée de clins d’œils fournis par des œuvres cinématographiques antérieures, référencées ou de panoplies professionnelles de célébrités récupérées. Le final ressemble à un amoncellement de spots publicitaires incohérents, regroupant les stars sportives du moment, exécutant devant la caméra quelques prouesses liées à leur gagne-pain quotidien. Une surprise cependant, dans ce ramassis d'idées au ras des pâquerettes, l’agréable trouvaille d’avoir fait de Jérôme le Banner le souffre-douleur d’un Brutus chétif, dominant du geste et de la parole un colosse serviable et soumis, ça franchement c’est drôle, et peut-être plus fort que la prestation d'un ésar tutoyant les cieux. JIPI