L'INCROYABLE HOMME INVISIBLE - 1960

Titre VF L'INCROYABLE HOMME INVISIBLE
Titre VO The amazing transparent man
Année de réalisation 1960
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h00
Genre FANTASTIQUE
Notation 5
Date de sortie en France
Thème(s)
Invisibilité (tous pays confondus)
Savants fous, médecins déments (Cinéma américain)
Prisons (Cinéma américain)
Atome, uranium et nucléaire (Cinéma américain)
Cochons d'Inde et autres hamsters (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
ULMER Edgar George
Chef(s) Opérateur(s)
NICHOLSON Meredith
Musique
CALKER Darrell
Renseignements complémentaires
Scénario : Jack Lewis
Acteurs
CHAPMAN Marguerite
KENNEDY Douglas
GRIFFITH James
TRIESAULT Ivan
MORGAN Boyd Red
DANIEL Carmel
LEDFORD Jonathan
ERWIN Erwin
SMITH Norman
CRANSHAW Pat
KELLY Kevin (2)
ADAMS Dennis
MORGAN Stacy
Résumé

Joey Faust est un spécialiste des coffres-forts et surtout un indéniable virtuose pour les ouvrir, quelques soient leurs marques, leurs complexités et leurs origines. C'est pour cela que le commandant Paul Krenner le fait évader d'une prison où il purgeait une longue peine, avec la complicité de sa maîtresse, l'aguichante Laura Matson. En effet, notre bonhomme veut absolument se procurer une forte dose d'uranium, dans des coffres fort inaccessibles, afin de perfectionner son fameux rayon X13 qui permet de rendre invisible. L'expérience a d'ailleurs réussi sur un cochon d'Inde, grâce à la collaboration involontaire du docteur Peter Ulof, un éminent savant qui travaille sous la contrainte (sa fille Maria est retenue prisonnière de l'odieux Krenner). Un nouvel essai sur Joey s'avère fort prometteur : il devient effectivement invisible, mais pour une durée hélas fort courte. Ce qui lui permet toutefois de voler de l'uranium, comme prévu. Par contre le cambriolage d'une banque se présente comme un échec patent, avec des effets d'invisibilité de plus en plus fugaces et aléatoires. Les jours passant, les complexes rapports entre les principaux protagonistes deviennent vraiment tendus et l'affection de Laura finit par changer de partenaire...

>>> D'une incroyable et pitoyable nullité, par un des cinéastes comptant tout de même quelques chefs-d'oeuvre à son palmarès, cette triste pochade ne s'explique ni par des raisons de vieillesse (Ulmer n'avait que cinquante-sept à l'époque) ni par un manque d'inspiration ou d'originalité (notre bonhomme, débordant mythomane, se targuait d'avoir tourné plus de cent films, dont certains en ukrainien et en yiddish)...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)