LOOKING FOR ERIC - 2008

Titre VF LOOKING FOR ERIC
Titre VO Looking for Eric
Année de réalisation 2008
Nationalité Grande-Bretagne / France
Durée 1h59
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 27/05/2009
Thème(s)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Football (tous pays confondus)
Postes et Télécommunications
Réalisateur(s)
LOACH Ken
Chef(s) Opérateur(s)
ACKROYD Barry
Musique
FENTON George
Renseignements complémentaires
Scénario : Paul Laverty
Distribution : Diaphana Distribution

Visa d'exploitation : 120 511
Acteurs
EVETS Steve
CANTONA Eric
BISHOP Stephanie
KEARNS Gérard
GUMBS Stefan
HUDSON Lucy-Jo
MAC NULTY Matthew
AINSWORTH Laura
BEESLEY Max
BROWN Julie (2)
HENSHAW John
MOORHOUSE Justin
ROBERTS Smug
TRAVIS Johnny
POPE Ryan
Résumé
Dans la mouise et la mésentente familiales, Eric Bishop, un sympathique postier de Manchester, se demande comment son idole de toujours, le footballeur Eric Cantona, réagirait à sa place devant les moult difficultés et contrariétés de son existence.
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Annuel du Cinéma 2010
- Cahiers du Cinéma numéro 645
Critiques (Public)
16/20 : On sent que le réalisateur a voulu se faire plaisir en compagnie d'un sportif à carrure populaire. Fort heureusement, le foot ici n'a pas "les gros pieds", je parle pour ceux assez allergiques au football en général comme moi-même. D'abord, Eric Cantona, sorti d'une lampe d'Aladin dans la chambre d'un Anglais moyen, on jubile, le fantasme du modèle de réussite en claquant des doigts... Surtout que les scènes sur le terrain ont des allures de ballet plus que de match, la musique, enjouée (mais discrète tout au long du film), ajoutant à l'amusement. Quelque peu bizarre le pistolet sous le plancher des sales gosses et puis ça passe vu le commando de choc sous les masques ensuite... Car on se marre bien, parfois après avoir tressauté lors des secousses qu'assène le cinéaste par ailleurs fidèle à ses obsessions sur ses contemporains. Peut-être moins de profondeur que d'habitude au profit de l'humour par rafales (et encore ça dépend des films), disons que Ken Loach s'est permis de souffler un peu ! L.Ventriloque