THE LAST HOUSE ON DEAD END STREET - 1977

Titre VF THE LAST HOUSE ON DEAD END STREET
Titre VO The last house on dead end street
Année de réalisation 1977
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h18
Genre HORREUR
Notation 12
Date de sortie en France
Thème(s)
Milieu du cinéma (Cinéma américain)
Film dans le film (tous pays confondus)
Films cultes
Abattoirs (tous pays confondus)
Zoophilie
Sadomasochisme
Bossus
Homosexualité féminine (Cinéma américain)
Tortures
Enucléation (tous pays confondus)
Snuff movies (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
WATKINS Roger (2)
Chef(s) Opérateur(s)
FISHER Ken (2)
Musique
ARMAND Claude
Renseignements complémentaires
Scénario : Brian Laurence
alias Roger Watkins .....

Nota : uniquement disponible en dvd .....

Acteurs
WATKINS Roger (2)
FISHER Ken (2)
SCHLAGETER Bill
CURTIN Kathy
CANESTRO Pat
SWEET Steve
PIXLEY Edward E.
VROOMAN Nancy
NEUMEYER Suzie
JENSEN Paul M.
ROUSE Ken
Résumé

Terry Hawkins vient de sortir de prison, après une longue année d'incarcération, pour trafic et consommation de produits illicites. La découverte d'un bâtiment inoccupé semble parfaitement lui convenir pour servir de lieu principal et privilégié à la réalisation de son film en gestation. L'accord donné par un ancien camarade, pour faire office de cameraman, permet au projet de se mettre en place et à la mise en scène de commencer. Cela débute par une étrange réunion, à forte connotation sexuelle, durant laquelle une jeune femme, Nancy Palmer, le visage enduit de noir, se fait fouetter par un bossu, devant des invités, alors que son mari regarde une vague réalisation érotique en compagnie d'un producteur. Puis, un homme solidement attaché, est étranglé. Suzie Knowles, l'épouse du financier, est à son tour immobilisée et se fera radicalement trancher la gorge. Quelques protagonistes masqués vont s'occuper de miss Palmer qui, ligotée sur une table, le visage lacéré, est démembrée à l'aide d'une tranchante scie, éventrée, puis éviscérée. Un autre convive de la soirée, Steve Randall, se retrouve énucléé à l'aide d'une radicale perceuse électrique...

>>> Considéré par certains comme un incontournable film culte, entre faux snuff-movie poisseux et délire anxiogène sous fréquente overdose d'amphétamines, par d'autres, comme une consternante galéjade carabinée mais creuse, on versera pour notre part, plutôt dans une appréciation cinématographique mitigée, préférant dans un genre proche, les sanguinolents délires visuelles d'un Gordon Hessler...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)