LE MONDE DES VAMPIRES - 1961

Titre VF LE MONDE DES VAMPIRES
Titre VO El mundo de los vampiros
Année de réalisation 1961
Nationalité Mexique
Durée 1h20
Genre FANTASTIQUE
Notation 6
Date de sortie en France
Thème(s)
Vampires (Cinéma mexicain)
Mutité (Autres pays)
Bossus
Cinéma mexicain (ORIGINE)
Réalisateur(s)
CORONA BLAKE Alfonso
Chef(s) Opérateur(s)
DRAPER Jack
Musique
CARRION Gustavo Cesar
Renseignements complémentaires
Scénario : Jesús Murcielago Velázquez
et Raúl Zenteno .....
d'après une histoire d'Alfredo Salazar
Acteurs
GARCES Mauricio
BAUMAN Erna Martha
FOURNIER Silvia
MURRAY Guillermo
BAVIERA José
MARGAIN Yolanda
VELA Mari Carmen
BARRON Alfredo Wally
MORENO Alicia
MATUTE Alvaro
Résumé

Le comte Sergio Subotai sort de son cercueil, bien décidé à se venger des Colman, dont un des ancêtres fut à l'origine de sa claustration et de sa réclusion dans sa condition de vampire, alors même qu'il voulait asseoir sa domination sur le monde. Après une partition musicale sur un incroyable orgue dont les tuyaux sont confectionnés de tibias et d'ossements divers, le vil aristocrate agresse un couple en 4x4, avec la collaboration de ses nombreux acolytes, à tête de chauve-souris dégénérées (en ridicule carton-pâte), puis notre chef vampire se rend à l'invitation des descendants de son mortel ennemi, dont les deux nièces, Léonor et Mirta, sont rapidement sous l'emprise de l'odieux personnage. Heureusement qu'un invité, le sympathique Rodolfo Sabre, spécialiste d'une sorte de musique incantatoire et subliminale, jouée sur un piano, provoque le recul et le départ du démoniaque individu. Ce dernier, profitant de son maléfique aura sur l'une des demoiselles, entre à distance en possession de son esprit et la fait venir dans son château qui, de jour, durant ses obligatoires et nécessaires séjours dans l'humidité sombre d'un cercueil, est alors sous le contrôle et la surveillance d'un brutal serviteur muet, bossu de surcroît...

>>> Dieu que c'est affligeant et ringard au possible, au point de dégager finalement une médiocre ode poético-sinistre, où l'incongruité devient presque charmante et la bêtise scénaristique, une aimable divagation de l'esprit. Etonnante particularité, jusqu'à aujourd'hui jamais rencontrée dans aucun film du genre, après une morsure infectée d'un quelconque vampire, et avant de se transformer aussi en créature avide de sang et de morsures, on a le corps qui se recouvre de poils épais et disgracieux (!?)...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)