SALVAJES - 2001

Titre VF SALVAJES
Titre VO Salvajes
Année de réalisation 2001
Nationalité Espagne
Durée 1h38
Genre DRAME
Notation
Date de sortie en France 19/06/2002
Thème(s)
Cinéma espagnol (ORIGINE)
Milieu médical (Cinéma espagnol)
Skinheads (tous pays confondus)
Délinquance (Cinéma espagnol)
Racisme (Cinéma espagnol)
Réalisateur(s)
MOLINERO Carlos
Chef(s) Opérateur(s)
GORMEZANO Gerardo
Musique
MENDO Luis JIMENEZ Rebeca
Renseignements complémentaires
Scénario : Jorge Juan Martínez,
Carlos Molinero, Lola Salvador
et Clara Pérez Escrivá .....
d'après la poème éponyme
de José Luis Alonso de Santos
Distribution : ASC Distribution

Visa d'exploitation : 105 677
Acteurs
PAREDES Marisa
ARIAS Imanol
MORON Manuel
CASAMAJOR Roger
ISASI Maria
FERREIRO Alberto
BUALE Emilio
PARDO Mario
SANCHEZ Alicia (2)
BALAGUE Carmen
SANZ Juan
GOMEZ Toni
PASO Dario
ALCOBENDAS José Luis
SUAREZ Marta
CASANOVA Silvia
ALVAREZ Roger
RODRIGUEZ Julio César (2)
GOYANES Conchita
RIVAS Victor
MARTINEZ Petra
MAKUALA Patrick
TIEDRA Cora
TRUJILLO Consuelo
MARTINEZ Raul (2)
COLOMAR Vicente
Résumé

Sur fond de haine et de racisme, dans une ville de Valence gangrénée par les thèses de l'extrême-droite, la difficile relation affective entre un inspecteur de police désabusé et une dévouée infirmière dont les neveux militent dans le milieu des skinheads .....

Bibliographie
Critiques (Public)
16/20 : Projeté au festival espagnol nantais de mars 2010. Si en 2001, ce film frôlait le grand-guignol par excès de noirceur, il passe peut-être mieux aujourd'hui que le stress est devenu une seconde nature ... Une fois la rudesse d'ensemble admise, j'ai bien aimé "le fond" en forme d'avertisseur concernant cet "autre", que les économies vacillantes exhortent à affubler de tous les maux comme si colonisation, esclavage étaient dans l'ordre des choses. Certes, des maladresses à vouloir trop appuyer le propos, je pense au documentaire final bizarrement plaqué sur la fiction, mais c'est quand même assez bien enlevé si on l'entend comme un polar (caricatural du réel)... D'autant que Carlos Molinero filme bien et a le mérite d'alerter sur ce qui peut déferler à toutes époques sans prise de conscience suffisante. Grâce à la vieillissante mais encore très attirante Marisa Paredes en infirmière et son patient machiste irrésistible, il est possible de gommer le néo-nazisme et autres dérapages d'un inconfort total. L.Ventriloque