TAMARA DREWE - 2010

Titre VF TAMARA DREWE
Titre VO Tamara Drewe
Année de réalisation 2010
Nationalité Grande-Bretagne
Durée 1h49
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 14/07/2010
Thème(s)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Personnages de bande dessinée (Cinéma britannique)
Réalisateur(s)
FREARS Stephen
Chef(s) Opérateur(s)
DAVIS Ben
Musique
DESPLAT Alexandre
Renseignements complémentaires
Scénario : Moira Buffini
d'après la bande dessinée de Posy Simmonds
Distribution : Diaphana Distribution

Visa d'exploitation : 126 660
Acteurs
ARTERTON Gemma
ALLAM Roger
CAMP Bill
COOPER Dominic
EVANS Luke
GREIG Tamsin
BARDEN Jessica
CHRISTIE Charlotte
NAUGHTIE James
BETT John
TAYLOR Josie
GALLAGHER Bronagh
HAYWOOD Pippa
WOOLDRIDGE Susan
LAWRENCE Amanda
CAMPBELL Cheryl
BRUNI Emily
ALLEN Tom (2)
QUINN Patricia (2)
HALL Walter
FRY Joel
WINSTONE Lois
Résumé
Lorsque la frétillante Tamara Drewe, qui travaille dans la presse people londonienne, revient dans son petit village natal, son séjour va causer moult remue-ménages et perturbations parmi la petite population locale .....
Bibliographie
- Canard Enchaîné du 14 juillet 2010
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
13/20 : C'est du lourd... Ouste la sensibilité à fleur de peau de "Liam", "The Queen" ou "Les liaisons dangereuses" ! Bien empaqueté, mais ce que le réalisateur fait dire ou faire à ses acteurs m'a refroidie. Tout d'abord, cet écrivain aux toilettes, prochain de l'épouse à l'oeil de chien battu et au popotin dans le viseur... Gros rire d'une grande "beaufitude", on sent les enjeux gros comme une maison, la seule surprise réside dans ces vaches déchaînées pour cause de chien dans leurs pattes (une scène spectaculaire, inattendue, sans doute vertigineuse à tourner). Pour le reste, je fais partie des peu emballés, et surtout pas par cette tornade de retour au bled (bien balancée, féministe mais trop minois de séries anglo-saxonnes)... On pressent aussi le clash avec ces deux pestes à l'affût, dont l'une va monter au créneau (et pourtant les avoir filmées en embuscade permanente peut raviver de jolis souvenirs de méchanceté enfantine)... Après toutes ces frictions d'un goût discutable, on doit s'attendrir, la morale l'ordonne. Alors que fait encore défaut le décollage. C'est une farce incompatible avec ce dénouement de consolation, cette façon de se rabattre sur le sentimental. Mais je n'ai pas accroché à ces arrangements de façade... Il manquait la magie, je revoyais trop le monsieur sur le trône ! L.Ventriloque