BARRIERE - 2010

Titre VF BARRIERE
Titre VO Barriere
Année de réalisation 2010
Nationalité Allemagne
Durée 1h36
Genre DRAME
Notation
Date de sortie en France
Thème(s)
Milieu du théâtre (Cinéma allemand) (est et ouest)
Cinéma allemand (ORIGINE)
Shakespeare (William)
Réalisateur(s)
KLEINERT Andreas
Chef(s) Opérateur(s)
SEEMANN Jakob
Musique
DICKMEIS Daniel
Renseignements complémentaires
Scénario : Andreas Kleinert

Acteurs
RIM ABDEL-MAKSOUD Nora
DOSE Jan
GORR Julia
GÖTZE Juliane
GROS Grégoire
HABICH Mathias
HUMNIG Christoph
JESCHKE Jakob
LAWINCKY Thomas
LEO Moses
NILSON Corinna
PREUSS Paul
RANSBERGER Matthias
RICHTER Jessica
RÖMER Kerstin
SADOWSKI Uscha
SCHUCHT Ursula
SCHULZ Leoni
STAFFI Anton
ULONSKA Marlen
ZIESER Petra
ZSCHIESCHE Volkram
MANZEL Klara
Résumé

Une troupe de théâtre originaire de Berlin, composée de neuf acteurs, sur une scène provinciale, et leur rencontre avec "Hamlet" de Shakespeare, sous la férule d'un metteur en scène chevronné.

Bibliographie
Critiques (Public)
17/20 : Découvert au Cycle allemand Univerciné Nantes de novembre 2010. On est intrigué par ce bébé qui pleure comme s'il avait des dons de voyance. Brève présentation des neuf acteurs (dont trois seulement seront retenus) dans leurs répétitions :"Hamlet", une oeuvre grandiose... Déjà, l'hébergement jure par rapport à la qualité requise. Les neuf collègues doivent s'allier un metteur en scène caractériel quoique réceptif à leurs particularismes (attachant Matthias Habich) et contourner l'étrangeté du vraiment très jeune projectionniste... Sauve qui peut, l'une veut refaire sa valise... Réflexion faite, chacun jouera des coudes, en se ménageant des récréations diverses, parfois jusqu'au délire suraigu... Le spectateur est gâté côté photo, un noir et blanc pur, lumineux, chatoyant (Visages en plans rapprochés, esthétisme des corps dont la plastique parfaite de Klara Manzel !). Du sordide interfère, ce couple de Bidochons avec bébé (souvent en larmes lui aussi). Il faut attendre les derniers plans, Ophélie entre réalité et mythe, pour apprécier le scénario, bien boutiqué finalement. Sans être frontal comme Dennis Gansel dans "La Vague", Andreas Kleinert décrit avec beaucoup de subtilité comment un concours de circonstances peut privilégier l'instinct de conservation de l'individu par rapport à toute autre chose et sans état d'âme particulier. L.Ventriloque