LA PLANETE DES SINGES : LES ORIGINES - 2010

Titre VF LA PLANETE DES SINGES : LES ORIGINES
Titre VO Rise of the planet of the apes
Année de réalisation 2010
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h45
Genre SCIENCE-FICTION
Notation 11
Date de sortie en France 10/08/2011
Thème(s)
Pont du Golden Gate (Golden Gate Bridge)
Singes (Cinéma américain)
Milieu médical (Cinéma américain)
Jeux (échecs) (tous pays confondus)
Zoos
Vétérinaires (tous pays confondus)
Hélicoptères (tous pays confondus)
Préquels (tous pays confondus)
Tramways
Grande Roue (tous pays confondus)
Maladie d'Alzheimer ( tous pays confondus)
Boulle (Pierre)
Réalisateur(s)
WYATT Ruppert
Chef(s) Opérateur(s)
LESNIE Andrew
Musique
DOYLE Patrick
Renseignements complémentaires
Scénario : Rick Jaffa
et Amanda Silver .....
d'après les personnages créés par Pierre Boulle
Distribution : 20th Century Fox

Visa d'exploitation : 129 868
Acteurs
FRANCO James
PINTO Freida
LITHGOW John
COX Brian
FELTON Tom
OYELOWO David
LABINE Tyler
HARRIS Jamie
HEWLETT David
OLSSON Ty
BELL Madison
JOY Makena
O'GRADY Kevin
TYSON Sean
HUI Tammy
DORSEY Rufus
RIEFSNYDER Kyle
MAC RAE Anthony
BEACH Jeb
REID Jesse
HARRISON Bj
GIBSON Leah
SPIRIDAKOS Tracy
WANIS-RUIZ Ivan
CARROLL Trevor
HORSDAL Chelah
WEBBER Timothy
PIZZINATO James
NIELSEN Robin
MUSTELIER Monica
NARULA Syn
HAWKINSON Mattie
BOOTH Ryan
DOUGLAS MYREN Gordon
WEINSTEIN Elizabeth
GRANTIER Meredith
ATEBE Camille
REDMAN Dean
JOHNSON Hector
RICHMOND-PECK David
HOUGH Adrian
JOHNSON Evans
ROCHE Joey
ROCHE Sean Connor
DEVJI Qayam
YURIJ Kis
BENNETT Sonja
KOPSA Michael
LAWLOR Steve
SCHIELDS Chris
ROBSON Sandy
RODERIQUE Luc
DOPUD Mike
HENRIQUES Mark
NORTH Frederic
SERKIS Andy
KONOVAL Karin
NOTARY Terry
RIDINGS Richard
GORDON Christopher
CAPUTO Jay
PANOU
SCIZAK Marc
SHIELDS Chris
PALMER Jim
MITCHELL Mike
Résumé

Emérite chercheur dans le puissant laboratoire Genesis de San Francisco, Wil Rodman a focalisé ses travaux sur un nouveau médicament, nomenclaturé "ALZ 112", censé atténuer les irrémissibles et désastreuses conséquences de la maladie d'Alzheimer. Pour cela, il teste son dernier produit sur quelques chimpanzés et plus spécifiquement sur le numéro 9, une femelle, baptisée "Beaux yeux", à cause de la couleur vert irisé de son regard, probable résultante de la prise du médicament. Lorsque cette dernière perturbe, dans une apparente crise de folie, une importante réunion de l'entreprise, elle sera abattue, le projet stoppé et la douzaine d'autres bipèdes euthanasiés. Mais quel n'est pas la surprise et l'étonnement de Will lorsqu'il découvre que la femelle chimpanzé n'était pas démente, mais voulait tout simplement protéger son bébé qui venait de naître. Le jeune homme décide alors d'emmener discrètement le nouveau-né chez lui, à son domicile personnel et de poursuivre envers et contre tous, en catimini, ses conséquentes recherches. Il s'avère rapidement que l'animal, baptisé César, développe une remarquable intelligence graduelle et que le fameux produit opère bénéfiquement sur le propre père du garçon, atteint de la fameuse maladie. Cinq années passent ainsi, entre un paternel revigoré, un primate comprenant le langage des signes, un chercheur confiant dans les avancées de ses travaux et... une délicieuse vétérinaire devenue la compagne de notre jeune homme. Mais les choses vont finalement se gâter brutalement : les effets bénéfiques du "ALZ 112" commencent à s'estomper, neutralisés par les anticorps du patient. Et lorsque Rodman père fait un esclandre avec un teigneux voisin, au sujet d'une voiture de sport, la situation se détériore rapidement, à cause d'une violente intervention de César. L'animal est rapidement attrapé et enfermé dans un endroit hyper-protégé, avec d'autres congénères. Tous les ingrédients du drame sont désormais présents...

>>> Quelques rares moments fort bienvenus, dans un ensemble d'une simiesque monotonie, avec une catastrophique exagération des effets spéciaux qui rendent l'ensemble ennuyeux, quelconque et surfait. On singe à tout va, mais le magnifique pont du Golden Gate est heureusement toujours debout...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Quelle bonne surprise que ce film sensible aux trucages époustouflants, démontrant sur fond de lutte contre la maladie Alzheimer, que l'instinct restera toujours, malgré de stupéfiantes facultés intellectuelles, le schéma directeur d'un animal. A quoi bon singer les hommes en postulant l'acquisition de leur bien le plus précieux, l'intelligence ? Un chimpanzé ne sera jamais champion du monde de football ou prix Nobel de chimie, surtout dans un monde aussi étrange que celui des humains, partagé entre l'affection des uns et la méchanceté gratuite des autres. La maltraitance et l'enfermement abusif s'avère le détonateur d'un choix intérieur. La bête rapatriée par le traitement médical dans la logique des humains, n'accepte pas d'être privée de ses comportements naturels. Ressourcée en compagnie de ses congénères, elle n'a plus d'autre solution, afin de récupérer un comportement ancestral, que de se servir en parallèle de son intellect et de ses fonctions bestiales, contre ceux qui lui ont appris à réfléchir et dont elle s'éloigne de plus en plus. Un film magique et passionnant sur la liberté d'être ce que l'on doit être, sans aucune récupération. A voir absolument JIPI

Je m'attendais au pire mais non, c'est pas mal du tout. Certaines scènes renouvellent le choc originel du film source, lequel est évoqué par d'habiles petits clins d’œil. Pour moi c'est sans conteste le meilleur surgeon qu'est donné l'arbre de 1967, le reste n'étant quasiment que des purges.