INGLOURIOUS BASTERDS - 2009

Titre VF INGLOURIOUS BASTERDS
Titre VO Inglourious Basterds
Autres titres VF LE COMMANDO DES BATARDS
Année de réalisation 2009
Nationalité Etats-Unis / Allemagne
Durée 2h28
Genre GUERRE
Notation
Date de sortie en France 19/08/2009
Thème(s)
Deuxième Guerre Mondiale (Cinéma américain)
Juifs (Cinéma américain)
Nazisme (Cinéma américain)
Hitler
Réalisateur(s)
TARANTINO Quentin ROTH Eli
Chef(s) Opérateur(s)
RICHARDSON Robert
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Quentin Tarentino
Distribution : Universal Pictures

Visa d'exploitation : 123 772
Acteurs
PITT Brad
LAURENT Mélanie
WALTZ Christoph
ROTH Eli
FASSBENDER Michael
KRUGER Diane
BRÜHL Daniel
SCHWEIGER Til
BURKHARD Gedeon
IDO Jacky
NOVAK B. J.
DOOM Omar
DIEHL August
MENOCHET Denis
GROTH Sylvester
WUTTKE Martin
MYERS Mike
DREYFUS Julie
SAMMEL Richard
FEHLING Alexander
TAYLOR Rod
MÖHRING Sönke
LEVINE Samm
RUST Paul
BACALL Michael
SCHWERING-SOHNREY Arndt
HARTUNG Petra
MICHALOWSKI Volker
DUKEN Ken
BERKEL Christian
FRANCK Anne-Sophie
SEYDOUX Léa
RODRIGUEZ Tina
FRIEDRICH Lena
PISTOR Ludger
PALLASKE Jana
LINDNER Wolfgang
KRANZ Michael
BOCK Rainer
PENVERN André
HÜLK Sebastian
HOOKER Buddy Joe
BRÜCKNER Christian
EICHHORN Hilmar
ELIAS Patrick
LÖBAU Eva
HOCHHOLDINGER Wilfried
SCHEEL Michael
PLANK Leo
TIETZ Andreas
SVENSON Bo
CASTELLARI Enzo G.
AUGUST Michael
BESEDES Noemi
CARDONA Helene
FELSENHEIMER Bela B.
FÖHRWEISSER Guido
GARBER Jake
JACKSON Samuel L.
KEITEL Harvey
NAPIER Andrew
NICOTERO Gregory
NOVICK Niko
PETUKHOVS Aleksandrs
POTTER Brendan
TARANTINO Quentin
RATTEY Sabrina
SCHIFLER Anastasia
WIESER Vitus
Résumé

Sur fond de Second Guerre Mondiale, un intrépide groupuscule de soldats d'origine juive, surnommé "les Basterds" est constitué par un lieutenant américain, dont la spécialité est de liquider des nazis et qui va se retrouver dans la tourmente, lors des préparatifs pour une projection cinématographique en l'honneur du régime teuton .....

Bibliographie
- Annuel du Cinéma 2010
- Cahiers du Cinéma numéro 648
Critiques (Public)
Très peu de repères classiques viennent garnir cette suite de scènes interminables, bavardes et statiques incorporées dans un produit étalant davantage les théories d'un troisième Reich festif ou de salons privilégiant la thématique sado maso plutôt que le fait de guerre sur le terrain. Au bout d'un moment, c'est trop et sans s'endormir, on commence à somnoler, tout en cogitant sur l'absence totale d'une essence historique traditionnelle et flamboyante, remplacée par la garniture violente, sédentaire et esthétique d'un réalisateur semblant plus se divertir en imposant la compagnie de psychopathes de tous bords particulièrement dangereux. L'information, à l'aide d'images représentatives et surtout beaucoup plus objectives destinées aux générations montantes sur la douleur citoyenne d'une époque occupée, est inexistante. Ce n'est pas la troisième guerre mondiale, mais celle vue par Quentin Tarantino, un état dans un état, dans une suite de décalages et de délires, aux mains d'un réalisateur plus désireux d'entretenir une image excentrique en se servant de l'histoire des hommes. Une œuvre d'auteur atteignant son sommet dans ses quinze premières minutes, pour ensuite s'éparpiller en fonction des délires de l'artiste. JIPI