SUR LA PLANCHE - 2011

Titre VF SUR LA PLANCHE
Titre VO
Année de réalisation 2011
Nationalité Maroc / France / Allemagne
Durée 1h50
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 01/02/2012
Thème(s)
Réalisateur(s)
KILANI Leila
Chef(s) Opérateur(s)
DEVIN Eric
Musique
WILKIMIX
Renseignements complémentaires
Scénario : Leila Kilani
Distribution : Epicentre Films

Visa d'exploitation : 120 874

Nota :

- Sélection Officielle Paris Cinéma 2011 Mention Spéciale du Jury .....

- Festival Taormina, 2011 Meilleur Film, Meilleure réalisatrice, Prix d'interprétations féminines .....

- Festival international d’Abu Dhabi 2011 - Mention spéciale du Jury .....

- Festival de Tubingen 2011, Prix de la critique .....

- Festival Antalya 2011 - Meilleur film .....

- IFF Oslo 2011 Prix FIPRESCI
Acteurs
AKEL Nouzha
BAHMAD Mouna
BITIOUI Sara
BOUAZZA Rafika
ISSAMI Soufia
Résumé
A travers le destin de quatre jeunes filles d'une vingtaine d'années, qui travaillent péniblement le jour,
ouvrières oeuvrant dans l'urgence et le pénible, et qui ne songent plus qu'à s'amuser, une fois la nuit tombée,
une vision réaliste d'une fascinante ville marocaine, Tanger .....
Bibliographie
- Libération du 01 février 2012
- Cahiers du Cinéma numéro 675
- Positif numéro 612
- Le Canard Enchaîné du 01 février 2012
Critiques (Public)
16/20 : Festival des Trois Continents nantais 2011. Un film tourné avec fougue dont il se détache une "envie de dire" qui force l'admiration. Alors on suit ces jeunes filles en se fourrant dans la tête que la débrouille dans cette zone franche de Tanger doit être faite de ces vertiges-là. Actrices touchantes dans leur contraste volontaire, chacune jouant sa partition dans l'affrontement sans saliver de ce que l'autre soit plus ceci ou plus cela. D'une certaine manière toutes les quatre sont logées à la même enseigne, de la plus plastique à la plus garçonne en passant par celle qui s'affranchit jusqu'à ne plus savoir où se positionner. Dans la survie où culture et racines brillent par leur absence, elles jouent de leur personne en forçant le trait comme pour encore ressentir quelque chose. Peut-être justement est-ce un peu trop appuyé, avec des redondances où on frôle l'ennui avant la scène décisive ? On est plus dans le respect que dans l'émotion véritable. L.Ventriloque