J'AI VECU L'ENFER DE COREE - 1951

Titre VF J'AI VECU L'ENFER DE COREE
Titre VO The steel helmet
Autres titres VF SERGENT ZACK
Année de réalisation 1951
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h24
Genre GUERRE
Notation 15
Date de sortie en France 30/04/1952
Thème(s)
Guerre de Corée
Anes et autres mulets...
Mutité (Cinéma américain)
Racisme (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
FULLER Samuel
Chef(s) Opérateur(s)
MILLER Ernest
Musique
DUNLAP Paul
Renseignements complémentaires
Scénario : Samuel Fuller
Distribution : Jeannic Films

Visa d'exploitation : 11 526

Nota : carton final : "Il n'y a pas de fin à cette histoire" signifiant la poursuite, ailleurs dans le temps, de la lutte contre le communisme .....
Acteurs
EVANS Gene
HUTTON Robert
BRODIE Steve
EDWARDS James
LOO Richard
MELTON Sid
MONAHAN Richard
CHUN William
FONG Harold
MORROW Neyle
STALMASTER Lynn
Résumé

Seul survivant de l'exécution collective de sa patrouille massacrée par les Nord-Coréens, le sergent Zack, qui doit la vie sauve à son casque ayant dévié la balle mortelle, est délivré de ses liens par un jeune Coréen du Sud qui ne voudra plus le quitter et qu'il surnommera, en dérision et affection "Balle Perdue". Blessé à la jambe, il est soigné par le caporal Thompson, un infirmier noir dont la section a été décimée et tous les trois vont bientôt se joindre au lieutenant Driscoll et sa patrouille en charge de capturer un gradé ennemi et de le ramener à l'état-major. L'ensemble du petit groupe trouve refuge dans le temple de Chang-An-Sa, ignorant la présence dans les méandres du bâtiment d'un officier nord-coréen qui va profiter de la nuit pour poignarder mortellement le soldat américain affecté à la garde, avant d'être finalement capturé. Le lendemain matin, en partance pour livrer le prisonnier à ses supérieurs, le sergent Zack abat ce dernier, après qu'un sniper ait abattu le gamin qui voulait l'accompagner dans sa mission. Une puissante attaque ennemie commence, d'une évidente supériorité numérique, qui échoue pourtant grâce aux tirs de l'artillerie américaine jointe in extremis, après une hasardeuse réparation de la radio partiellement endommagée...

>>> On connait la légendaire fougue guerrière du réalisateur qui caméra au poing et diatribe anticommuniste en pavois, compose une œuvre solide, volontairement orientée qui se regarde avec un certain bonheur malgré quelques pesants stéréotypes et de navrantes complaisances qui font sourire ou peuvent agacer, selon...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinéma numéro 127
Critiques (Public)