NO ET MOI - 2010

Titre VF NO ET MOI
Titre VO
Année de réalisation 2010
Nationalité France
Durée 1h42
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 17/11/2010
Thème(s)
Quart monde (Cinéma français)
Prostitution (Cinéma français)
Adolescence (Cinéma français)
Hôtels (Cinéma français)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma français)
Réalisateur(s)
BREITMAN Zabou
Chef(s) Opérateur(s)
AMATHIEU Michel
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Zabou Breitman
et Agnès de Sacy .....
d'après le roman de Delphine de Vigan
Distribution : Diaphana Distribution

Visa d'exploitation : 123 687
Acteurs
PARMENTIER Julie-Marie
RODRIGUEZ Nina
CHALON Antonin
CAMPAN Bernard
BREITMAN Zabou
BONNET Grégoire
LONDEZ Guilaine
VALERO Eric
ABDELLI Kamel
ACCARD Sophie
CHASSERIAUD Jéromine
BRUZIAUX Maurice
DI CONCERTO Mathieu
DI CONCERTO Romain
POTERLOT Stéphane
Résumé
La fugace relation amicale entre une jeune adolescence âgée de treize ans et une SDF de dix-neuf ans que la première veut aider à sortir de sa triste situation, avec l'active collaboration de ses parents .....
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Annuel du Cinéma 2011
Critiques (Public)
Aucune étincelle dans cette tentative avortée d'approcher dans sa réalité la volumétrie de plus en plus importante d'exclus privés de chaleur et d'hygiène. Visualisée de loin par un monde bourgeois éducateurs, turbulents ou en dépressions bien au chaud, faisant un pain béni conversationnel des statistiques désastreuses d'un monde social en miettes, uniquement perçus par les chiffres. Cet opus est un naufrage, une récupération commerciale complètement ratée, dans un conte pour enfants d'une mièvrerie stupéfiante. Un monde des sans abris soporifique, non reproduit dans ses véritables aspects qu'ils soient en fureur ou en accalmie. Ridiculisé dans une suite de scènes surfaites et romanesques, annihilant un concept privé d'une essence pure. Des obscurs se font voler leurs désespoirs et leurs silences par une reproduction non crédible, surexcitée, incapable de se débarrasser d'une excentricité fabriquée et démesurée, condamnant au documentaire un concept incapable de dévoiler son vrai visage par la fiction. JIPI