WE NEED TO TALK ABOUT KEVIN - 2011

Titre VF WE NEED TO TALK ABOUT KEVIN
Titre VO We need to talk about Kevin
Année de réalisation 2011
Nationalité Grande-Bretagne / Etats-Unis
Durée 1h52
Genre DRAME
Notation 11
Date de sortie en France 28/09/2011
Thème(s)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Rêves et cauchemars (Cinéma britannique)
Grands magasins et supermarchés (tous pays confondus)
Prisons (Cinéma britannique)
Accouchements (tous pays confondus)
Milieu médical (Cinéma britannique)
Halloween (tous pays confondus)
Handicapés moteurs (Cinéma britannique)
Jeux (vidéo)
Ours en peluche (tous pays confondus)
Pets, flatulences et autres vents .....
Arcs, archers et arbalètes
Noël et Réveillon (Cinéma britannique)
Enfance (Cinéma britannique)
Adolescence (Cinéma britannique)
Golf
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma britannique)
Enucléation (tous pays confondus)
Milieu scolaire (Cinéma britannique)
Relations entre mère et fils
Tueurs psychopathes (Cinéma britannique)
Fourmis (tous pays confondus)
Cochons d'Inde et autres hamsters (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
RAMSAY Lynne
Chef(s) Opérateur(s)
MAC GARVEY Seamus
Musique
GREENWOOD Jonny
Renseignements complémentaires
Scénario : Lynne Ramsay
et Rory Kinnear .....
Distribution : Diaphana

Visa d'exploitation : 130 615

Acteurs
SWINTON Tilda
REILLY John C.
MILLER Ezra
NEWELL Jasper
DUER Rock
GERASIMOVICH Ashley
FALLON HOGAN Siobhan
MANETTE Alex
FRANKLIN Kenneth
LYLES Leslie
DIOMEDE Paul
CAMPBELL Michael (2)
MALLORY-MAC CREE Jamal
WILSON Mark Elliot
CHEN James
FOX Lauren
GERSHENZON Andy
PARKER Ursula
MAC LEAN Simon
DARKE Erin Maya
O'SULLIVAN Annie
LIFSHER Georgia X.
BLAKELY Aaron
ADAMS Polly
GUNN Suzette
MELENDEZ Joseph
CHONG Johnson
DRUMMOND Kimberley
FARCHER Daniel
KIM Jennifer
KINNUNEN Caitlin
KANDEL J. J.
URBANO Maryann
VON ALLMEN Tah
BASILE Joseph
HEANEY Susan-Kate
MURDOCH Francesca
Résumé

Kevin Khatchadourian, né lors d'un accouchement plutôt difficile pour sa mère Eva, manifeste des comportements fort inhabituels voire inquiétants, dès son plus jeune âge, n'arrêtant pas de brailler et de hurler pour une broutille, inconsidérément. Un peu plus grand, il s'enfonce dans un mutisme hargneux vis à vis de sa mère, à laquelle il refuse obstinément d'adresser la parole. A l'âge de six ans, son hostilité se transforme en agressivité, saccageant avec de la peinture la chambre parentale et occasionnant même une fracture du bras à sa mère de plus en plus inquiète. Lorsque la famille s'agrandit, avec l'arrivée d'une petite soeur prénommée Celia, la méchanceté et la haine se reportent spontanément sur cette dernière : son petit hamster est tué et elle-même se retrouve brûlée avec le contenu d'un flacon de destoop et bientôt éborgnée. A la veille de son seizième anniversaire, le garçon commet un véritable carnage dans son lycée avec un arc de compétition et de mortelles flèches acérées, non sans avoir auparavant occis sa soeur et son père, au domicile familial...

>>> Cet estimable et remarqué succès commercial au niveau du box-office national et même international, qui fut présentement en fait le troisième long métrage de la réalisatrice écossaise Lynne Ramsay, nous laisse par contre passablement irrité par sa construction hybride et décousue, un montage lourdement éparpillé et une interprétation exaspérante de Tilda Swinton, outrancière et factice de la part d'Ezra Miller et un scénario quelque peu incohérent, maladroit, discutable...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
15/20 : Grande marée à la tomate, un gros effet... Puis peinture rouge en veux tu en voilà. Alerte au sang ! Une multitude d'allers-retours passé et présent montre l'effroi de cette femme. Déjà in utero, elle avait mal à son Kevin. Ils contribuèrent l'un et l'autre à se scinder dans des hurlements lourds de présage. Très vite le diablotin aux sphincters régressifs, nargue, cause comme un adulte, en éternelle provoc. Une incompatibilité d'humeur incurable, la crise d'ado puissance mille tant qu'aucun événement gravissime ne vient rompre la dyade. Et chacun(e) de charger la mère ou l'enfant, elle a ruminé trop de trucs et il a écopé... Rien sur le père, occupé à viriliser son fils pollué par le malsain giron. Or, le très gros plan des deux pupilles du monstre changées en cibles jette un léger froid pour qui songe à l'actualité récente du côté d'Oslo... Dommage pour Tilda Swinton et Ezra Miller dont l'aura commune permettait davantage côté dialogues, avec une musique qui colle un peu plus à la situation aussi tant qu'à faire. L.Ventriloque