80 JOURS - 2010

Titre VF 80 JOURS
Titre VO 80 egunean
Année de réalisation 2010
Nationalité Espagne
Durée 1h45
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 13/06/2012
Thème(s)
Cinéma espagnol (ORIGINE)
Milieu médical (Cinéma espagnol)
Homosexualité féminine (Cinéma espagnol)
3e âge (Cinéma espagnol)
Réalisateur(s)
GARANO Jon GOENAGA José Maria
Chef(s) Opérateur(s)
AGIRRE Javier
Musique
GAIGNE Pascal
Renseignements complémentaires
Scénario : Jon Garaño
et José María Goenaga .....
Distribution : Epicentre Films

Visa d'exploitation : 132 960

Nota :

- Festival International du Film d'Arras, Mention spécial du Jury et Prix du Public 2011 .....

- Festival d'Annonay 2011, Prix Spécial du Jury .....

- Festival Cinéhorizontes de Marseille 2011, Grand Prix Cinéhorizontes ....

- Festival Face à Face de Saint-Etienne 2011, Prix du Public .....

- Festival Des Images Aux Mots de Toulouse, Prix Coup de coeur .....

- Festival Cinespagna de Toulouse avec en récompense : Prix de l'Interprétation Féminin, Prix du Public, Prix du Meilleur Scénario .....

- Festival du Cinéma Espagnol de Nantes, Prix Fondation Borau Opéra Prima .....
Acteurs
AIZPURU Itziar
ARGOITIA José Ramon
EGUILEOR Zorion
GABARAIN Ane
LOPEZ Patricia (3)
PAGOAGA Mariasun
Résumé

"Axun, une femme de 70 ans se rend à l'hôpital pour s'occuper de l'ex-mari de sa fille. Elle découvre que la femme qui s'occupe du malade d'à coté est Maïte, sa meilleure amie d'adolescence. Elles profitent de leurs retrouvailles jusqu'à ce que Axun s'aperçoive que Maïte est plutôt attirée par les femmes... Chacune devra affronter des sentiments divergents" .....

                                                       (d'après le matériel de presse)                                        

Bibliographie
- Positif numéro 616
- Le Canard Enchaîné du 13 juin 2012
Critiques (Public)
19/20 : Découvert dans le cadre du 21ème festival espagnol de Nantes (2011). Imaginons une amitié féminine adolescente de retour à l'âge où la sexualité et les goûts séparent à nouveau les sexes. La façon de filmer fait descendre au ras de comateux allongés tels des morts. Côté son, une radio à modulation de fréquence instable. Ces dames complices après un petit verre ensemble soudain moitié fâchées... Traditions familiales, difficulté identitaire, il est parfois exclu de composer avec l'aspect charnel et pour des raisons que les mots ne peuvent expliquer. Des dialogues croustillants contournent l'obstacle, avec de savants gros plans sur les rides. Ce double portrait sans concession (toujours habillé) qui donne quelques vapeurs, serait stérile sans la superbe nièce, très affectueuse qui vient mettre son grain de sel au moment où cela démange d'appeler les hommes au secours pour redonner de l'équilibre au film... Un bain imprévu, des scènes de ménage, une filature, quelques larmes, vite séchées, tout l'intime féminin et ses contradictions passés au crible de manière attendrissante. Que ne fait-on pour grappiller un peu de bonheur en dernière ligne droite ! L.Ventriloque