ONDINE - 2009

Titre VF ONDINE
Titre VO Ondine
Année de réalisation 2009
Nationalité Irlande / Etats-Unis
Durée 1h39
Genre CONTE FANTASTIQUE
Notation
Date de sortie en France 25/08/2010
Thème(s)
Alcoolisme et autres beuveries (Autres pays)
Cinéma irlandais (ORIGINE)
Pêche et pêcheurs (Autres pays)
Milieu médical (Autres pays)
Réalisateur(s)
JORDAN Neil
Chef(s) Opérateur(s)
DOYLE Christopher
Musique
SVEINSSON Kjartan
Renseignements complémentaires
Scénario : Neil Jordan
Distribution : UGC Ph.

Visa d'exploitation : 126 534
Acteurs
FARRELL Colin
BACHLEDA Alicja
BARRY Alison
O'DWYER Marion
CURRAN Tony
O'SHEA Mary
REEVES Gemma
REA Stephen
SHEAHAN Norma
HOSTINA Emil
MAC CORMACK Brendan
DOHERTY Mark
KIRWAN Dervla
GOWEN Peter
NORTON Helen
WYCHERLEY Don
MONTGOMERY Gertrude
SHANNON Sharon
Résumé

Un pêcheur surnommé Syracuse repêche une mystérieuse jeune femme dans ses filets, qu'il recueille chez lui et qui va bouleverser son existence ainsi que celle de sa fille Annie .....

Bibliographie
Critiques (Public)
16/20 : Dès le début, le filet ramenant la sirène avec cette caméra qui balaie large ou se recentre sur la capture, on part dans le fantastique. Et voilà qu'elle vomit cette créature, répond au pêcheur... Crainte de s'orienter vers un scabreux mélange des genres, voire le désastre. Surtout que le filet d'après, cette prise saumonée inédite résultant du chant, déclenche l'hilarité. Là-dessus une petite handicapée, et puis une famille qui sent le soufre, on a décidément peur pour le réalisateur. Ne reste qu'à compter avec le caractère un peu à part du père (Colin Farrel), ce Syracuse, Circus, pour aller plus vite "le clown". Sa marginalité fait qu'on suit la petite pâlichonne (Alison Barry), une pipelette craquante... C'est elle qui inquiète le plus. Du chêne religieux lors des confessions à l'hôpital ou en pleine causerie sur route (joli plan de la petite tête de l'enfant vue de la voiture), on passe aux sauts dans l'eau pour moult raisons. En pleine vie communautaire sur une île de buveurs envahie par toutes sortes de gros poissons. Brillante et brève plongée explicative justifiant le point de départ, l'histoire s'avère plus plausible qu'escompté... Possible d'apprécier à condition de pouvoir alterner l'étrange, le grave et quelques pirouettes de pince-sans-rire. La splendide Alicja Bachleda-Curus aurait gagné à limiter ses vocalises de surface (si plates, si artificielles qu'on se boucherait bien les oreilles) et à les propulser tout de suite vers les profondeurs. L.Ventriloque