"Imaginez une ville où les gens n'ont désormais plus goût à rien, au point que la boutique la plus florissante de la région est celle où on vend poisons pour mourir et cordes pour se pendre. Mais la patronne vient d'accoucher d'un enfant qui est la joie de vivre incarnée, personnalisée. Au magasin des suicides, le ver est désormais dans le fruit" .....
(d'après le matériel de presse)
Bibliographie
- Le Canard Enchaîné du 26 septembre 2012
- Positif numéro 620
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Prometteur au début, ça tombe à plat par la suite. Dommage car visuellement c'est pas mal.