5 CAMERAS BRISEES - 2011

Titre VF 5 CAMERAS BRISEES
Titre VO 5 broken cameras
Année de réalisation 2011
Nationalité Palestine / France / Israël
Durée 1h30
Genre DOCUMENTAIRE
Notation
Date de sortie en France 20/02/2013
Thème(s)
Cinéma palestinien (ORIGINE)
Documentaires (Autres pays)
Réalisateur(s)
BURNAT Emad DAVIDI Guy
Chef(s) Opérateur(s)
BURNAT Emad
Musique
LE TRIO JOUBRAN
Renseignements complémentaires
Scénario : Guy Davidi
Distribution : Zeugma Films

Visa d'exploitation : 135 956

Nota :

- Prix spécial du jury et Prix du public IDFA, 2011 (Amsterdam)

- Prix de la réalisation documentaire au Sundance film festival, 2012 (Etats-Unis)

- Prix Louis Marcorelles au festival international du documentaire le Cinéma du réel, 2012 (Paris)

- Prix du public au Festival du film documentaire, 2012 (Sheffield, Angleterre)

- Grand prix du jury at Open City Docs Festival, 2012 (London)

- Prix de la réalisation au Festival One World du film des droits de l'homme, 2012 (Prague)

- The Millenium Award and the Lower Silesia Grand Prix

- Meilleur Documentaire au Festival Tempo, 2012 (Stockholm, Suède)

- Prix de la Réalisation au One World Human Rights Festival 2012 (Prague)

- Prix du Meilleur Documentaire du Eurodok Film Festival, 2012 (Norvège)

- Prix des Etudiants et le ‘Matter of Act prize’ au ‘Movies that Matter’

- Human rights film Festival 2012 (la Haye, Pays-Bas)

- Prix du Public et Prix des détenues aux Rencontres Internationales de Documentaire 2012 (Montréal)
Acteurs
BURNAT Emad
BURNAT Soraya
BURNAT Mohammed
ABU-RAHMA Bassem
PUTERMAN Yisrael
BURNAT Yasin
Résumé
"Emad, paysan, vit à Bil’in en Cisjordanie. Il y a cinq ans, au milieu du village, Israël a élevé un immense "mur de séparation" qui exproprie les 1700 habitants de la moitié de leurs terres, pour "protéger" la colonie juive de Modi’in Illit, prévue pour environ 50 000 résidents. Les villageois de Bil’in s’engagent dès lors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres, et de co-exister pacifiquement avec les Israéliens. Dès le début de ce conflit, et pendant cinq ans, Emad filme les nombreuses actions entreprises par les habitants de Bil’in. Avec sa caméra, achetée lors de la naissance de son quatrième enfant, il établit la chronique intime de la vie d’un village en ébullition, dressant le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ce dramatique conflit sans fin" .....

                                                                                    (d'après le matériel de presse)
Bibliographie
- Libération du 20 février 2013
- Cahiers du Cinéma numéro 686
- Le Canard Enchaîné du 27 février 2013
- Positif numéro 626
Critiques (Public)