LE BEBE DE ROSEMARY - 1968

Titre VF LE BEBE DE ROSEMARY
Titre VO Rosemary's baby
Année de réalisation 1968
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h17
Genre FANTASTIQUE
Notation 16
Date de sortie en France 30/10/1968
Thème(s)
Scrabble (tous pays confondus)
Maternités douteuses (tous pays confondus)
Le diable et ses démons (Cinéma américain)
Sorcellerie (Cinéma américain)
Levin (Ira)
Porte-bonheur (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
POLANSKI Roman
Chef(s) Opérateur(s)
FRAKER William A.
Musique
KOMEDA Krzysztof
Renseignements complémentaires
Scénario : Roman Polanski
d'après le roman d'Ira Levin .....
Distribution : CIC

Visa d'exploitation : 34 712

Nota :

- Pour Tony Curtis et Gail Bonnet uniquement la voix .....

- Affiche du film d'origine polonaise .....

- Victoria Vetri a tourné sous le pseudonyme D'Angela Dorian .....


- Oscar du meilleur second rôle pour Ruth Gordon (1968) .....
Acteurs
FARROW Mia
CASSAVETES John
GORDON Ruth
BLACKMER Sidney
EVANS Maurice
BELLAMY Ralph
VETRI Victoria
GRODIN Charles
CASTLE William
KELLY Patsy
LEEDS Philip
HENRY Emmaline
SUMMERS Hope
GORDON Marianne
WAGNER Wende
COOK Elisha (junior)
LANDY Hanna
BREWERTON Linda
BALDWIN Walter
CONNELL Gordon
GARLAND Janet
REILLY Joan
CURTIS Tony
BOERNER Charlotte
BROOK Sebastian
HARADA Ernest
MASTERS Natalie
MODLIN Elmer
O'NEAL Patricia
OSTERLOH Robert
SESSIONS Almira
SIDAR Bruno
DERRINGER Bill
MARTIN D'urville
TANNER Clay
BALDWIN Bill
BONNEY Gail
KNIGHT Jack
Résumé

Un jeune couple sans histoire, Rosemary et Guy Woodhouse viennent d'emménager, après leur récent mariage, dans un vieil immeuble new-yorkais réputé maléfique. Des voisins sympathiques, sexagénaires et serviables, Roman et Minnie, passent souvent leur rendre visite. Malaise de Rosemary qui se retrouve enceinte alors même qu'une jeune fille de l'immeuble se défenestre mystérieusement. L'angoisse et la peur de la jeune femme deviennent de plus en plus fréquentes...

>>> Oeuvre fort prenante, menée de mains de maître qui reste un excellent moment de fantastique réussi et maîtrisé, générant par la suite moult succédanés fort médiocres...

Bibliographie
- Dossiers Art et Essai numéro 49
- Télérama numéro 983
- Image et Son numéros 224, 476
- Cinéma 69 numéro 133
- Télé-Ciné numéros 147, 150
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1969
- Première numéro 177
- Cahiers du Cinéma numéro 207
- Télérama numéros 983, 2295
- Nouvel Observateur numéro 1525
- Le Point numéro 1116
- Cinématographe numéro 74
- Cinéma numéro 133
- Positif numéro 102

Critiques (Public)
La mise en scène est parfois un peu lourde, mais ce film est absolument passionnant et le suspense demeure jusqu'à la fin .... 

L'oeuvre est très fidèle au roman. L'ambiance du film est d'autant plus terrifiante que les sorciers, cachés, dissimulés (simplement avec le pouvoir de persuation) sont toujours présents. Et la terreur naît du quotidien et de l'imagination. Contrairement aux films explicites les plus gores du genre ("La colline a des yeux" par exemple), celui-ci garde sa force parce que ancré dans une réalité où tout peut arriver... Et c'est ce qui est le plus terrifiant. Mia Farrow est parfaite dans le rôle, de même que Ruth Gordon (qui a bien gagné son oscar). En revanche John Cassavetes se la joue Actor's Studio et il n'est absolument pas crédible.  AXEL.

Un plaisir que de revoir ce film qui suggère bien plus qu'il ne montre, basé finalement autant sur le fantasme - faire l'amour avec un inconnu, donner la vie - que sur la terreur - se retrouver au cœur d'un complot, victime d'une vaste manipulation. Mia Farrow est exceptionnelle, les sorciers plutôt divertissants. La première fois ce film m'avait effrayée, à présent il m'amuse, ce qui est sûr c'est que dans les deux cas, j'apprécie ! 17 / T