LES BEAUX JOURS - 2013

Titre VF LES BEAUX JOURS
Titre VO
Année de réalisation 2013
Nationalité France
Durée 1h33
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 19/06/2013
Thème(s)
Réalisateur(s)
VERNOUX Marion
Chef(s) Opérateur(s)
GAURIN Nicolas
Musique
SIRJACQ Quentin
Renseignements complémentaires
Scénario : Marion Vernoux
et Marion Vernoux .....
d'après une histoire de cette dernière
Distribution : Le Pacte

Visa d'exploitation : 129 572
Acteurs
ARDANT Fanny
LAFITTE Laurent
CHESNAIS Patrick
ATKINE Féodor
RIVIERE Marie
STEVENIN Jean-François
COTTENCON Fanny
CAEN Emilie
LACHENS Catherine
CHAPITEAU Marc
CAUCHI Alain
LE MAOÛT Cédric
SARAHYBA Farah
COTE Olivia
ZAJDERMAN Paule
LORIDAN-IVENS Marceline
AUDIARD Jeanne
Résumé
"Des beaux jours ? Caroline, fraîchement retraitée, n'a que ça devant elle : du temps libre et encore du temps libre. La belle vie ? Pas si simple... Comment alors tout réinventer ? Transgresser les règles, provoquer de nouvelles rencontres, ou bien simplement remplir son agenda ? A moins que tout soit déjà là ?" .....

                                                                                    (d'après le matériel de presse)

Bibliographie
- Le Canard Enchaîné du 19 juin 2013
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
18/20 : On approcherait presque l'idéal pour une dernière ligne droite féminine dans ce joli film tiré d'un livre. Rien de tel que deux hommes pour se rassurer sur sa valeur, l'un faisant vibrer sa chair et l'autre, le "pote" de longue date avec qui tout finit toujours par s'admettre tant il restera proche. Les deux acteurs masculins ont assez de charme pour qu'on ne puisse pas en condamner l'un sur les deux. Fanny Ardant incarne bien cette fragilité de retraitée cherchant ses marques, économe de mots dans l'évitement des conflits, par exemple avec ses deux grandes filles en plein essor familial que les petits enfants permettent de réunir. Le portrait succinct d'une femme ébauchant sa nouvelle identité dans le marigot des relations sociales actuelles. J'ai passé un bon moment, souvent identifiée à "l'intérieur de Caroline", cette hypersensibilité qui commande de s'efforcer à la tolérance comme de trancher dans le vif quand ça sent le roussi. Au négatif, quelques clichés inévitables les talons aiguilles en bord de mer, un rythme un peu étiré par moments le défaut de ressources internes chez cette grande dame qui pourrait, à présent qu'elle a du temps pour elle, s'adonner à quelque chose d'introspectif procurant le recul nécessaire, peindre, écrire, sculpter autre chose qu'un unique cendrier... Qui sait, peut-être après la trempette collective ! L.Ventriloque