L'ECLAT DU JOUR - 2012

Titre VF L'ECLAT DU JOUR
Titre VO Der Glanz des Tages
Année de réalisation 2012
Nationalité Autriche
Durée 1h30
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 12/02/2014
Thème(s)
Cinéma autrichien (ORIGINE)
Milieu du théâtre (Autres pays)
Quart monde (Autres pays)
Réalisateur(s)
COVI Tizza FRIMMEL Rainer
Chef(s) Opérateur(s)
FRIMMEL Rainer
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Xaver Bayer,
Rainer Frimmel et Tizza Covi .....
Distribution : Zootrope Films

Nota :

- Grand Prix du festival Max Ophüls Preis, Sarrebruck 2013 .....
Acteurs
HOCHMAIR Philipp
SAABEL Walter
LEONTI Vitali
Résumé
"Philipp est un jeune acteur à succès. En se consacrant entièrement à ses répétitions et représentations, il s’éloigne peu à peu de la réalité quotidienne.Quand il rencontre Walter, un vieil homme errant, puis quand il est confronté à la détresse de son voisin, il redécouvre les difficultés de certains pour survivre" .....

                                                                                    (d'après le matériel de presse)
Bibliographie
- Libération du 12 février 2014
- Cahiers du Cinéma numéro 697
- Le Canard Enchaîné du 12 février 2014
Critiques (Public)
14/20 : Projeté à l'Univerciné Allemand Nantes 2013. Nettement moins convaincant que "La Pivellina" sorti en 2010. L'introduction, mettant en scène deux personnalités que tout oppose est pourtant prometteuse. Concernant "l'ambiguïté" signalée dans le synopsis, on s'attend à tout autre chose qu'une importante différence de valeurs. D'abord les points communs de toute rencontre et, petit à petit, les premières frictions en principe sources de rebondissements. Or, rien de vraiment fracassant entre ces deux personnages excepté qu'ils représentent deux tendances lourdes de notre monde contemporain. Les comédiens jouent leur propre rôle, l'oncle raisonne souvent le plus jeune qui se réfugie dans ses représentations narcissiques, lesquelles virent au grand n'importe quoi. Les deux se tiennent en respect au bout de leurs anicroches... L'écho rencontré chez le spectateur est bien ce tiraillement entre l'art, vecteur de rêve (ou le virtuel en général) et la rudesse de ceux qui affrontent les aspérités du quotidien. La dernière partie ternit l'ensemble. Non seulement on est déçu parce qu'on peine à rester éveillé(e) (est-ce dû aux scènes théâtrales trop creuses ?) mais on souffre de ce que le plus âgé, avec son sens des réalités pures et dures, ses anecdotes de terrain (ce corps à corps avec les plantigrades !) reste beaucoup plus digne d'intérêt que son fanfaron de neveu. L.Ventriloque