12 YEARS A SLAVE - 2013

Titre VF 12 YEARS A SLAVE
Titre VO Twelve years a slave
Année de réalisation 2013
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h13
Genre DRAME
Notation 15
Date de sortie en France 22/01/2014
Thème(s)
Esclavage
Vomissements (tous pays confondus)
Racisme (Cinéma américain)
Bateaux à roues ou à aubes
Radeaux (tous pays confondus)
Bûcherons (tous pays confondus)
Indiens (tous pays confondus)
Marécages et autres bayous .....
Porcs / cochons
Bals (soirées) costumé(e)s (et ) (ou) masqué(e)s
Enterrements (tous pays confondus)
Amours interraciales (tous pays confondus)
Au-delà du Mississippi
Réalisateur(s)
MAC QUEEN Steve (2)
Chef(s) Opérateur(s)
BOBBITT Sean
Musique
ZIMMER Hans
Renseignements complémentaires
Scénario : John Ridley
d'après le livre éponyme de Solomon Northup .....
Distribution : Mars Distribution

Visa d'exploitation : 138 661
Acteurs
EJIOFOR Chiwetel
HENRY Dwight
BATT Bryan
DYKE Ashley
SCOTT Kelsey
WALLIS Quvenzhané
BENTLEY Tony
MAC NAIRY Scoot
NYONG'O Lupita
KILLAM Taran
BERRY Christopher
CAMP Bill
CHALK Chris
TATE Craig
ODUYE Adepero
PROCTOR Tom
MACAULAY Marc
FLEMING-ALVAREZ Vivian
WILLIAMS Michael Kenneth
GRIFFIN Douglas M.
MAC CONNELL John
BROWN Marcus Lyle
HOLDEN Richard
STEINBERG Rob
GIAMATTI Paul
GLOVER Anwan
CUMBERBATCH Benedict
VICTOR James C.
COLLINS Nicole
EVERMORE J. D.
DANO Paul
FASSBENDER Michael
PAULSON Sarah
DYLAN Andy
TYLER Deneen
HARRIS Mustafa
PURNELL Austin
MURPHY Thomas Francis
SHANKS Andre De'sean
HARRISON Kelvin (junior)
JEFFERSON Scott Michael
WOODARD Alfre
WOODARD Alfre
DILLAHUNT Garret
EVANS Devin Evans
PITT Brad
HUGULEY Jay
TYLER Devyn A.
AMENT Jason
ARTHUR Jon
BRAUD Sean Paul
BURT Blake
BURT Carroll
CAUSIN Joseph Randy
CREPPEL Haylie
DAVIS Justin Edward
GUNTER Jim
HALEY Emily D.
JOHNSON Jim (3)
JOYCE Mark
KLEIN John C.
LE BLANC Cynthia
LE BLANC Elton
LEWIS Gerard Jerry
MCDONALD Kevonte
MONTGOMERY Ritchie
NEGGA Ruth
OWEN Jason
PARSONS Shawn
PERE Wayne
REMENTER Erin
ROBINSON André (2)
ROSHEA Corrina
SMITH Chaz
SOERRIES Tyler
TUREAUD Tre
WALKER Bob
WYANT Timothy
Résumé

1841 à Saratoga, dans l'état de New York, une vingtaine d'années avant la fratricide guerre de Sécession. Solomon Northrup, un virtuose au violon, vit heureux avec sa petite famille, dans une bienvenue et confortable harmonie. Sa dextérité musicale et sa brillante prestation instrumentale ont été remarquées par deux quidams qui l'invitent à Washington pour le convier à la création de quelques partitions destinées à l'accompagnement et l'agrément de plusieurs numéros de cirque. En fait, la demande n'est qu'un sordide piège qui a pour but d'enlever notre homme, qui est d'origine noire, et de le monnayer ensuite, quelque part au sud des States, dans une région où l'esclavagisme continue à sévir éhontément. Forcé de changer de nom, il est vendu plusieurs fois, selon les aléas de la conjoncture économique pour officier dans les plantations de cannes à sucre, les immenses champs de coton ou comme bûcheron, charpentier ou menuisier, sans cesse en but à la violence et à la bêtise ignominieuses de contremaîtres racistes, de petits chefaillons sadiques et d'odieux propriétaires terriens. Témoin lucide de toute la misère du monde qui se déverse sur lui et sur ses frères noirs, Solomon parviendra, après douze années de privations et de souffrances, à pouvoir alerter les siens et à enfin quitter l'insondable folie de cet enfer quotidien...

>>> Une oeuvre forte et nécessaire, par un réalisateur tout aussi indispensable, dont on pourrait reprocher son manque de dénonciation politique sur la nature institutionnelle de l'esclavage aux Etats-Unis, se cantonnant presque uniquement dans sa représentation avec ses insistants corollaires d'humiliation et de sadisme, éludant l'embarrassante question des errements de la Constitution américaine de l'époque...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Le Canard Enchaîné du 22/01/2014
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Libération du 22 janvier 2014
Critiques (Public)
Fort, sans en rajouter (à part la scène des coups de fouet... encore que, il faudrait que je me documente). Le temps qui passe, qui s'arrête sur la nature superbe, sur le héros figé dans sa détresse. Un langage châtié tant chez les esclaves que chez les maîtres. Tout ça m'a parfois fait décroché du sujet principal apparent. Je m'attendais à un hyperréalisme revanchard, j'ai eu tort. C'est intéressant, il y a quelque chose... mais peut-être inabouti. Un bémol par rapport à l'intrigue autour de la lettre libératrice, vraiment mal ficelée.