Le curé d'un petit village du département du Lot-et-Garonne, prénommé Maximin, vient d'hériter de son frère défunt, d'un luxueux bain thaïlandais à Bangkok qu'il imagine être un institut d'hébergement pour jeunes filles asiatiques en péril. Départ pour la Thaïlande où de folles aventures le guettent et le bousculent en nombre : détournement d'avion, terroristes, méprise, pseudo-enlèvement...
>>> Une oeuvre stupide, ringarde et médiocre sans inspiration ni intérêt qui émane d'un metteur en scène d'une affligeante et profonde stérilité dans l'inspiration...
Bibliographie
Critiques (Public)
Une oeuvre totalement mésestimée du cinéma comique des années 70-80. Ces moyens mirobolants et toute cette énergie créatrice mis au service d'une des plus grande réussite de ce cinéma français que je chéris tant. Ce film est le mètre-étalon d'un certain cinéma populaire, que Luc Besson, Jean-Marie Poiré ou encore Christian Clavier tentent de sauvegarder en nous faisant tant rire. Daniel Guerini
Le film peut-être le plus fort sur l'après-colonialisme. Dénoncer les néo-colons (dans ce film, ce sont d'infâmes tenanciers de bordel), montrer la naïveté du curé perdu dans un monde qui n'est pas le sien (la prostitution et la traite des blanches). L'Occident ne sort pas grandi d'une telle confrontation avec ces vieux démons colonialistes. Antoine Malibran