LES VIVANTS - 2012

Titre VF LES VIVANTS
Titre VO Die Lebenden
Année de réalisation 2012
Nationalité Autriche / Allemagne / Pologne
Durée 1h52
Genre DRAME
Notation 10
Date de sortie en France 19/03/2014
Thème(s)
Cinéma autrichien (ORIGINE)
Nazisme (Autres pays)
Télévision (Autres pays)
Camps de concentration (tous pays confondus)
Chorales / Choeurs
Trains et gares (Cinéma allemand) (est et ouest)
Enterrements (tous pays confondus)
Cimetières (tous pays confondus)
Maisons de retraite (tous pays confondus)
Vidéo (Moyen de communication)
Milieu médical (Cinéma allemand) (est et ouest)
Autobus et autocars (tous pays confondus)
Journal intime (tous pays confondus)
Milieu universitaire (Cinéma allemand) (est et ouest)
3e âge (Cinéma allemand) (est et ouest)
Réalisateur(s)
ALBERT Barbara
Chef(s) Opérateur(s)
GODFREJOW Bogumil
Musique
DANGEL Lorenz
Renseignements complémentaires
Scénario : Barbara Albert
Distribution : Bodega Films

Acteurs
FISCHER Anna
SCHUSCHNIG Hanns
ZIRNER August
TIRAN Itay
SEA Daniela
GLATZEDER Winfried
ZILCHER Almut
MUES Wanja
COX Emily
SEIDEL Karl Alexander
BARATTA Heidi
ACKERMANN Trude
Résumé

Autrichienne de descendance roumaine, la jeune Sita, âgée de vingt-cinq ans, poursuit des études audiovisuelles à Berlin tout en travaillant occasionnellement pour une télévision locale. Après une rupture sentimentale avec un collègue, elle fait la rencontre dans un bar d'un jeune photographe d'origine israélienne dont elle s'amourache. Venue à Vienne pour l'anniversaire des quatre-vingt-quinze ans de son grand-père, Gerhard Weiss, qui vit désormais dans une maison de retraite, elle découvre dans ses affaires, une photo de lui en uniforme SS qui l'intrigue fort et la pousse à mener son enquête sur le passé familial, que son père, interrogé pour l'occasion, occulte sciemment. Après d'insistantes recherches dans les structures professionnelles adéquates, (centre des archives, bibliothèques, musée de la Résistance) elle s'en vient à Varsovie, ayant appris que son grand-père aurait pu avoir été nommé au camp de concentration d'Auschwitz. Hébergée dans la capitale polonaise par une sympathique autochtone prénommée Silver, vivant dans un squat et militante alternative, elle est obligée de rentrer dare-dare en Allemagne pour l'enterrement de son aïeul, cérémonie durant laquelle elle fait la connaissance d'un vague cousin qui dans le passé avait écrit un édifiant bouquin sur bien des pans sombres de l'histoire familiale...

>>> Noble cause morale et légitime quête de la vérité historique, partiellement annihilées par de lourdes surcharges sentimentales, avec une inutile digression en Transylvanie, des fastidieux égarements situationnels (manifestation protestataire, scènes en faculté, ballade en scooter, séances de jogging) qui rendent l'ensemble quelconque et parfois insipide, une tenace impression de colmatage et de remplissage. Et, cerise sur le Schwarzwälder, la demoiselle qui s'est fait opérer d'un vague trou dans le cœur, certainement provoqué par les troublantes révélations patriarcales, envisage de partir, avec son amour judéo-teuton en Palestine, en territoire occupé (!)...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Le Canard Enchaîné du 19 mars 2014
- Positif numéro 637
Critiques (Public)