UNE PROMESSE - 2013

Titre VF UNE PROMESSE
Titre VO
Année de réalisation 2013
Nationalité France / Belgique
Durée 1h38
Genre DRAME
Notation
Date de sortie en France 16/04/2014
Thème(s)
Réalisateur(s)
LECONTE Patrice
Chef(s) Opérateur(s)
SERRA Eduardo
Musique
YARED Gabriel
Renseignements complémentaires
Scénario : Patrice Leconte
et Jérôme Tonnerre .....
d'après le livre de Stefan Zweig :
"Le voyage dans le passé" .....
Distribution : Mars Distribution

Visa d'exploitation : 135 431
Acteurs
HALL Rebecca
RICKMAN Alan
MADDEN Richard
MURRAY Toby
STEED Maggie
SBILLE Jean-Louis
MESSENS Sarah
SAWDON Jonathan
KERN Peter
MAC ILROY Andrew
CORNIL Christelle
WILSON Gordon
Résumé
"Allemagne, 1912. Un diplômé, d'origine modeste, devient le secrétaire particulier d'un homme âgé, patron d'une usine de sidérurgie. L'état de santé du patron se dégrade et lui impose de rester à domicile. Il y accueille le jeune homme pour travailler. L'épouse du patron est une femme de trente ans, belle et réservée. Le jeune homme s'éprend d'elle, sans oser révéler ses sentiments. Dans le huis-clos de la demeure, couve cette passion amoureuse, sans geste ni parole, tout en regards et en silences. Brusquement, le patron décide d'envoyer son protégé au Mexique, afin d'y superviser l'exploitation de mines de fer. L'annonce de ce départ provoque chez l'épouse une réaction désespérée. Le jeune homme réalise qu'il est aimé d'elle, lui aussi, en secret. Mais la présence du mari malade interdit à leur amour de s'accomplir ici et maintenant. L'épouse fait une promesse : au retour du jeune homme, dans deux ans, elle sera à lui" .....

                                                                                    (d'après le matériel de presse)
Bibliographie
- Le Canard Enchaîné du 16 avril 2014
- Positif numéro 638
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
18/20 : Le raffinement des décors, des costumes, l'atmosphère vaguement opiacée, tout cela ferait sourire sans cette ironie dans la voix masculine face au jeune rival en puissance. Les présentations sont un peu longues, précautionneuses. Arrive enfin la dame telle une fleur à cueillir deux fois. Une fraîcheur, un naturel inaltérables, décuplés par son piano hors champ. Idylle retenue à l'extrême, manque de fougue diront les conditionnés aux explosions. Alors oui, c'est traité façon Stefan Zweig, en plus pâle sans doute, avec des pics de cruauté, jamais eau de rose ou mélo pour autant. Ni Harlequin, ni les romans-photos des Emma Bovary années Cinquante ou de leurs toutes jeunes filles en catimini. Et pourtant baume comparable si coeur encore ouvert un tant soit peu... Oser le romantisme de couple à l'identique, pas seulement féminin, un crime à l'époque du tout jetable ! L.Ventriloque