PAS DE REPIT POUR LES DAMNES - 2011

Titre VF PAS DE REPIT POUR LES DAMNES
Titre VO No habra paz para los malvados
Année de réalisation 2011
Nationalité Espagne
Durée 1h44
Genre POLICIER
Notation 12
Date de sortie en France
Thème(s)
Cinéma espagnol (ORIGINE)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma espagnol)
Flippers (tous pays confondus)
Vidéo (Moyen de communication)
Trains et gares (Cinéma espagnol)
Drogue -consommation- (Cinéma espagnol)
Hôtels (Cinéma espagnol)
Réalisateur(s)
URBIZU Enrique
Chef(s) Opérateur(s)
MENDIA Unax
Musique
DE BENITO Mario
Renseignements complémentaires
Scénario : Enrique Urbizu
et Michel Gaztambide .....

Nota :

- Goya 2012 du meilleur film, du meilleur réalisateur et du meilleur acteur (José Coronado) .....
Acteurs
CORONADO José
SANCHO Rodolfo
MIQUEL Helena
ARTERO Juan José
SANCHEZ Pedro Mari
BACHIR Younes
CASADO Nadia
SHUK Juan Pablo
FARELO Eduard
EL-KEREM Karim
EL AZIZ Abdelali
SALEH Nasser
CLARAMUNT Héctor
EL MOUDEN Said
RUIZ Chema
PERALTA Roberto
FORERO Lina
DAVILA Ricardo
JORDAN Julio
GANCEDO Manuel
DE LIRA Miguel
HOYOS Maria Jesus
GUARDIOLA Miguel
CUADRUPANI Elvira
RODRIGUEZ José Juan
CANTERO Pepe
ESQUIVEL Christian
ORTIZ Daniel
CLEMENTE Carolina
BLANCO-FAFIAN Maria
TIEDRA Manuel
VILLANUEVA Juan Carlos
BLOYD Paloma
PERILLAN Julio
MARTIN Chani
ALAMAN Olga
FERNANDEZ Bernabé
LARA Esther
ALONSO Yiyo
ROSALES Concha
BRASO Pere
IRIBARREN Javier
SPIJKSMA Alex
PINTO Javier
DE LA HERAS Tusti
OLALLA Carlos
Résumé

Le solitaire et taciturne inspecteur Santos Trinidad, du service madrilène de recherche des personnes disparues, termine bien éméché sa tournée dominicale des bars, hors service et hors stabilité, dans une boîte de nuit en instance de fermeture, où après une rixe avec l'obséquieux patron de l'endroit, il abat en légitime défense, un homme de main armé et pour parfaire sa radicale colère tue aussi une serveuse présente et le taulier blessé. Afin de dissimuler sa fort répréhensible conduite, il dérobe les papiers d'identité des macchabées, leurs téléphones portables et en s'apprêtant à prélever une disquette vidéo d'enregistrement des lieux, découvre un autre individu à l'étage supérieur qui parvient à s'enfuir en moto. Son objectif le plus pressant est de retrouver rapidement l'individu afin de l'empêcher de parler. Alors que l'enquête officielle sur les trois morts est confiée au juge Chacon, notre inspecteur remonte vaille que vaille une ardue et complexe filière colombienne avec des ramifications au Maghreb, à la recherche d'un certain Rachid, alors même qu'un sommet politique du G20 se prépare dans la capitale. De fil en aiguille, toujours un peu en avance sur les investigations judiciaires, Santos finit par découvrir qu'au-delà d'une important trafic de drogues dans lequel baigne les comparses et autres relations des morts de la fameuse boîte de nuit, se profile l'ombre d'un obscur réseau islamique qui projette de faire exploser dans un centre commercial, à proximité d'un supermarché, quelques bombes astucieusement dissimulées dans des extincteurs et dont la charge explosive est déclenchée à distance par l'intermédiaire d'un rudimentaire téléphone portable...

>>> On est plutôt en peine de ne pouvoir expliquer ou seulement comprendre, pourquoi une telle oeuvre, certes d'une honorable moyenne, ait pu décrocher les trois plus prestigieux prix consacrant les productions espagnoles de l'année 2012, en l'occurrence les Goyas des meilleurs film, acteur, réalisateur. Quant à l'interprétation principale, celle de José Coronado, lourdement surjouée, elle traîne dans une ambivalence discutable, penchant lourdement du côté d'un Charles Bronson ibérique...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)