LA STATUA DI CARNE - 1921

Titre VF LA STATUA DI CARNE
Titre VO La statua di carne
Année de réalisation 1921
Nationalité Italie
Durée 1h16
Genre MELODRAME
Notation 11
Date de sortie en France
Thème(s)
Cinéma italien (ORIGINE)
Aristocratie, noblesse et royauté (Cinéma italien)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma italien)
Pharmacies et pharmacien(ne)s (tous pays confondus)
Chiens (Cinéma italien)
Taxis (Cinéma italien)
Duels
Bals (soirées) costumé(e)s (et ) (ou) masqué(e)s
Réalisateur(s)
ALMIRANTE Mario
Chef(s) Opérateur(s)
ARATA Ubaldo
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Luciano Doria
d'après la pièce de Tebaldo Cicconi .....

Nota : Arnold Kent a joué sous son vrai nom Lido Manetti .....
Acteurs
ALMIRANTE MANZINI Italia
BILANCIA Oreste
CASSINI Alfonso
COLLO Alberto
RENIERI Bianca
KENT Arnold
Résumé

Le jeune et séduisant comte Paolo di Santa Fiora découvre l'infidélité de son épouse qu'il idolâtrait et par déception amoureuse, va s'encanailler dans les bas-fonds de la cité avec son ami Davide, fort porté sur les boissons bien alcoolisées. Pris pour de pauvres hères désargentés par deux folâtres demoiselles qui les invitent à prendre un café, ils finissent par se laisser prendre au jeu et à la confusion, Paolo acceptant même la proposition de l'une d'elles, prénommée Maria, d'un emploi dans l'entreprise artisanale où elles travaillent à la confection et la peinture de fleurs artificielles. Fort attiré par la jeune femme, il trouve un appartement dans le même immeuble que cette dernière et bientôt un couple se forme avec un bonheur réciproque et certain. Hélas, notre amoureuse décède brutalement, suite à une brutale crise morbide, certainement liée à la tuberculose. Pour oublier cette tragédie, il décide de partir quelques temps en voyage au loin. A son retour, invité à un bal masqué, il rencontre la délicieuse Noemi, une affriolante danseuse étoile qui ressemble comme deux gouttes d'eau à la disparue. Il va lui faire une étrange et maladive proposition contre un luxueux hébergement et une solide rémunération : durant deux heures par jour, elle devra répondre au nom de Mary, le reste du temps, elle est entièrement libre de ses mouvements et de ses relations...

>>> Pas vraiment de quoi se languir ou s'extasier devant cet amorphe et pesant mélodrame aristocratique et désuet qui avec son happy end consternant, après un stupide duel, nous laisse parfaitement indifférent, voire somnolent, comme d'ailleurs nombre de films transalpins de l'époque...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)