"Au-delà du simple portrait documenté du front de mer d’Ostende, ce film du fin des années vingt, l’un des premiers de Storck, est une véritable symphonie visuelle. Divisé en chapitres (le port, les ancres, le vent, l’écume, les dunes et la mer), le film glisse peu à peu vers l’abstraction. Pourtant l’aspect documentaire n’en est pas moins présent. Images d’Ostende nous livre aujourd’hui un extraordinaire document sur la côte flamande. Dans la première séquence, les barques de pêche côtoient encore les lourds chalutiers et Henri Storck dénonce déjà une pollution bien présente"
(d'après le matériel de presse)
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