LE CIEL VOUS REGARDE - 1963

Titre VF LE CIEL VOUS REGARDE
Titre VO Heavens above
Année de réalisation 1963
Nationalité Grande-Bretagne
Durée 1h58
Genre COMEDIE
Notation 13
Date de sortie en France
Thème(s)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Armée du salut (tous pays confondus)
Cimetières (tous pays confondus)
Représentant(e)s du culte (Cinéma britannique)
Juke-boxes (tous pays confondus)
Prisons (Cinéma britannique)
Lance-pierres et autres frondes (tous pays confondus)
Chauffeurs (de maître) (tous pays confondus)
Employé(e)s de maison (Cinéma britannique)
Golf
Psy(chologue-chiatre) (Cinéma britannique)
Quart monde (Autres pays)
Espionnage (Cinéma britannique)
Trains et gares (Cinéma britannique)
Baptêmes (tous pays confondus)
Jeux (bingo) (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
BOULTING John BOULTING Roy
Chef(s) Opérateur(s)
GREENBAUM Mutz
Musique
BENNETT Richard Rodney
Renseignements complémentaires
Scénario : Frank Harvey
et John Boulting .....
d'après une idée de Malcolm Muggeridge
Chef d'orchestre : John Hollingsworth
Acteurs
SELLERS Peter
PARKER Cecil
JEANS Isabel
CARMICHAEL Ian
MILES Bernard
PETERS Brock
SYKES Eric
HANDL Irene
KARLIN Miriam
MILLER Joan
MALLESON Miles
BARKER Eric
HARTNELL William
KINNEAR Roy
HICKSON Joan
GRIFFITH Kenneth
EDEN Mark
CORNER John
DIGNAM Basil
ENGELMAN Franklyn
GORDON Colin
HIBBERT Geoffrey
HEAL Joan
KENNEDY Ludovic
LAWRENCE Marjie
LOCKE Harry
LONGHURST Henry B.
MATHESON Joan
MUGGERIDGE Malcolm
NIMMO Derek
PHILLIPS Conrad
PHIPPS Nicholas
ROBINSON Cardew
SIM Gerald
SLOANE Olive
STONE Marianne
WAGSTAFF Elsie
WALTERS Thorley
WILSON Ian
WOODBRIDGE George
ADAM Ronald
BEWES Rodney
BRINTON Tim
CLIFFORD Peggy Ann
DEVEREAUX Ed
GLYN-JONES John
GORDON Nora
GRIFFITHS Fred
HARVEY John
HENLEY Drewe
HILL Rose
JUNKIN John
KEEGAN Barry
LACEY Margaret
MANSI Louis
MARRIOTT Steve
MAC NEFF Richard
MILTON Billy
MULLARD Arthur
PAYS Howard
KINGSLEY POYNTER Guy
SIEMAN Frank
SMITH Keith
TOBIN-WESKE Rita
WATERS Russell
WOOD Fred
WYNNE Gilbert
Résumé

Après d'amicales délibérations, quelques hautes instances ecclésiastiques du protestantisme anglican viennent de nommer le révérend John Smallwood comme nouveau responsable du diocèse d'Orbiston Parva dont la petite cité, pimpante et rayonnante, doit son charme évident et la relative aisance de ses concitoyens à la dynastie des Despard, propriétaires depuis des générations de l'usine Tranquilax, fabricant de calmants, remontants et laxatifs, qui fournit aussi bien des emplois à la plupart des habitants que des subsides aux autorités municipales et religieuses. Il s'avère que la secrétaire chargée de prévenir par courrier l'intéressé de sa nomination, se trompe de personne envoyant cette promotion à un autre Smallwood qui fait office d'aumônier à la prison de Fairfield et dont les autorités pénitentiaires sont fort satisfaites du départ, devant sa candeur et sa naïveté dans l'exercice de son sacerdoce en milieu carcéral. A peine arrivé dans son nouveau presbytère, notre radieux promu prend comme nouveau bedeau, un sympathique éboueur qui lui avait porté assistance, lors de son arrivée à la gare, sous une pluie battante. Sa seconde intervention sera d'ouvrir tout grand son presbytère à une famille de démunis et de fripouilles qui devait impérativement quitter une parcelle de terrain rachetée par quelques industriels désirant une extension de l'usine. Il va de soi que les bonnes actions de l'homme d'église vont rapidement créer perturbation et zizanie dans la population locale fort partagée sur ses interventions. C'est lorsque lady Despart, bientôt convaincue des aimables préceptes de la bible, décide de subventionner un magasin d'alimentation gratuit pour les (prétendus) nécessiteux de la ville, sous l'égide de "La Confrérie du Bon Samaritain" que les choses commencent à prendre une tournure plus aimable...

>>> Une première heure suave et délicieuse, baignée d'un humour fin et drôle, avec un scénario pétillant et mouvant qui ravit le regard et les zygomatiques. C'est ensuite que l'affaire se gâte, avec un scénario qui s'essouffle, piétine et tourne à vide, pour s'enliser en final dans une médiocre conclusion qui se voudrait rayonnante et stellaire...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)