SATAN, MON AMOUR - 1971

Titre VF SATAN, MON AMOUR
Titre VO The Mephisto waltz
Année de réalisation 1971
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h55
Genre FANTASTIQUE
Notation 8
Date de sortie en France 21/07/1971
Thème(s)
Cancer (Cinéma américain)
Le diable et ses démons (Cinéma américain)
Voitures (Rolls-Royce) (tous pays confondus)
Bals (soirées) costumé(e)s (et ) (ou) masqué(e)s
Enterrements (tous pays confondus)
Cimetières (tous pays confondus)
Héritages et testaments (Cinéma américain)
Rêves et cauchemars (Cinéma américain)
Milieu médical (Cinéma américain)
Inceste (Cinéma américain)
Taxis (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
WENDKOS Paul
Chef(s) Opérateur(s)
SPENCER William W.
Musique
GOLDSMITH Jerry MOZART Wolfgang Amadeus LISZT Franz
Renseignements complémentaires
Scénario : Ben Maddow
d'après un roman de Fred Mustard Stewart .....
Distribution : 20th Century Fox

Visa d'exploitation : 38 357
Acteurs
ALDA Alan
BISSET Jacqueline
PARKINS Barbara
DILLMAN Bradford
WINDOM William
WIDDOES Kathleen
FERDIN Pamelyn
JÜRGENS Curd
LOWENS Curt
MORTON Gregory
MICHELLE Janee
CHAUVIN Lilyan
DHIEGH Khigh
MORIN Alberto
KROEGER Berry
SCAMMELL Terence
BOWER Antoinette
BROOKE Walter
CAMPANELLA Frank
CARTER Harry
HERBERT Pitt
KRISTEN Marta
SAYRE Jeffrey
SHAW Anabel
Résumé

Consciencieux chroniqueur musical, le dénommé Myles Clarkson dont l'épouse Paula vient d'ouvrir une boutique de babioles haut de gamme, est venu interviewer, dans sa cossue résidence un certain Duncan Mowbray, pianiste génial fort admiratif du galbe, de la puissance et de la morphologie des mains du journaliste. Rapidement des relations amicales s'échafaudent, entretenues par la propre fille du célèbre artiste, avec de fréquentes invitations en compagnie de richissimes et célèbres convives. Souffrant d'une irrémissible leucémie, Duncan meurt peu de temps après, non sans que sa fille, prénommée Roxane, ait pratiqué quelques incantations sataniques sur le corps assoupi de Myles qui va immédiatement devenir le réceptacle de l'âme et de la personnalité du moribond accédant ainsi à une nouvelle existence. La même nuit, la propre fille de Paula, la petite Abby, est assaillie d'un mal étrange, après un rêve particulièrement traumatisant, pour mourir peu après d'un mal inconnu, en fait dans une logique sacrificielle où toute transmutation se paie en retour. Bientôt Paula commence à douter de la vraie nature de son époux qui a hérité d'une importante somme d'argent du défunt et qui comme par enchantement a repris le planning des concerts de ce dernier, avec la même maestria dans l'interprétation. De plus, l'ancien époux de Roxanne, le décontracté Bill Delancey, la conforte dans ses suppositions maléfiques...

>>> Surfant sur le succès mérité, environ deux années auparavant, du séduisant film de Roman Polanski, "Rosemary baby" ce pénible opus fantastique à connotation diabolique charrie de lourdes séquences besogneuses et quelconques, quelquefois même inutiles et risibles, quand l'ensemble ne sombre pas dans un stupide fatras d'images et de plans floutés, de prises de vue volontairement déformées, de préférence lors de scènes prétendues oniriques ou traumatiques. Nous tairons une fin calamiteuse, d'une médiocrité et d'une incohérence inimaginables...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- La Revue du Cinéma numéro 254
- Ecran Fantastique numéros 267 et 338
- Saison Cinématographique 1972
Critiques (Public)