LA GUEULE QUE TU MERITES - 2004

Titre VF LA GUEULE QUE TU MERITES
Titre VO A cara que mereces
Année de réalisation 2004
Nationalité Portugal
Durée 1h48
Genre COMEDIE GROTESQUE
Notation 9
Date de sortie en France 31/05/2006
Thème(s)
Milieu du théâtre (Autres pays)
Chiens (Autres pays)
Hoquet (tous pays confondus)
Milieu médical (Autres pays)
Enfance (Cinéma portugais)
Ascenseurs et monte-charges
Chasse
Trésors (tous pays confondus)
Ping-pong (tous pays confondus)
Cinéma portugais (ORIGINE)
Carnaval (tous pays confondus)
Jeux (bingo) (tous pays confondus)
Somnambulisme
Réalisateur(s)
GOMES Miguel
Chef(s) Opérateur(s)
POCAS Rui
Musique
RICARDO Mariana
Renseignements complémentaires
Scénario : Miguel Gomes,
Manuel Mozos et Telmo Churro .....
Distribution : Shellac

Visa d'exploitation : 115 301
Acteurs
AIROSA Jose
NAVE Gracinda
GRACA Sara
NICOLAU Joao
FIGUEIREDO Antonio Pedro
MOZOS Manuel
COTTA Carloto
CALDAS Pedro
DE ALMEIDA Duarte
HESTNES Francisco
Résumé

Aujourd'hui, c'est la fête du Carnaval, mais aussi l'anniversaire de Francisco, désormais trentenaire, enseignant de musique qui participe, égrotant et maussade, avec d'autres collègues dont sa petite amie Marta et les enfants de son école, à la commémoration, déguisé en faussement décontracté cow-boy. Il fait le joli cœur auprès de Vera, une autre enseignante, ce qui ne l'empêche pas, dans une crise de jalousie de bousculer le jeune Carlos, âgé de treize ans, amoureux de sa maîtresse, une attitude rendant furieuse Marta qui lui annonce ne plus vouloir le fréquenter. De dépit et de frustration, Francisco vient se réfugier dans la maison de campagne de son enfance. Il tombe malade (la rubéole) et convie sept étranges personnages pour l'assister durant sa pénible convalescence et bien sûr le protéger d'un soi-disant monstre qui serait dissimulé derrière la porte d'une des nombreuses pièces de l'endroit :

1) "Nicolau, un gentil garçon qui rêve éveillé"
2) "Harry qui a l'air d'un gentleman mais qui cache bien son jeu"
3) "Gross qui n'arrête pas de manger car il est toujours affamé"
4) "Copi qui ne pense qu'à l'amour et oublie ses devoirs"
5) "Travassos qui peut rester seul et en est fier"
6) "Texas le plus jeune et si loyal"
7) "Simoes qui parle très fort pour ne pas avoir tort"


>>> Une œuvre hébétée et saugrenue qui se voudrait fantasque et surréaliste dont on cherche vainement la pseudo-poésie, la folie créatrice, l'imagination légère et débridée. On se retrouve finalement à subir, surtout dans la seconde partie, une cacophonique lourdeur, sans aucun charme ni fragilité qu'on hésite encore à cataloguer dans la jobarderie post-estudiantine à connotation prétentieuse et nombriliste...

Bibliographie
- Cahiers du Cinéma numéro 612
Critiques (Public)