CAROL - 2015

Titre VF CAROL
Titre VO Carol
Année de réalisation 2015
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h58
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 17
Date de sortie en France 13/01/2016
Thème(s)
Highsmith (Patricia)
Grands magasins et supermarchés (tous pays confondus)
Homosexualité féminine (Cinéma américain)
Noël et Réveillon (Cinéma américain)
Taxis (Cinéma américain)
Milieu du cinéma (Cinéma américain)
Photos et photographes (Cinéma américain)
Trains et gares (Cinéma américain)
Hôtels (Cinéma américain)
Motels (Cinéma américain)
Détectives privés (Cinéma américain)
Road-movies (Cinéma américain)
Vomissements (tous pays confondus)
Trains miniatures électriques ou en bois (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
HAYNES Todd
Chef(s) Opérateur(s)
LACHMAN Edward
Musique
BURWELL Carter
Renseignements complémentaires
Scénario : Phyllis Nagy
d'après le roman de Patricia Highsmith :
"The price of salt" .....
Distribution : UGC Distribution

Visa d'exploitation : 143 586

Nota :

- Prix d'Interprétation Féminine pour Rooney Mara, Cannes 2015 .....
Acteurs
BLANCHETT Cate
MARA Rooney
CHANDLER Kyle
LACY Jake
PAULSON Sarah
MAGARO John
SMITH Cory Michael
CROWLEY Kevin
BROWNSTEIN Carrie
ROWLAND Trent
WARNER Amy
HANEY Michael
LARDIN Wendy
EVANS HAYNES Pamela
VIOLAND Greg
WARD Michael Joseph Thomas
DYE Christine
SORENSON Douglas Scott
STRUNK Ken
RESKIN Ann
KALAHURKA Annie
ANDREWS Steven
GILREATH Ryan Wesley
GILLESPIE Chuck
BOND Giedre
FREY Taylor
FRAYSURE Liberty
ASHE Robert J.
FARMER BERGMAN Anita
BOTTS Colin
BROWN James (6)
CARNDER Chelsea
CHINN Gary
CROSS William
DOONE Richard
DOUGHERTY Jim
GALLAGHER Jerry
GERDING Robert
GONZALEZ Jorge J.
GRAUWELMAN Nathaniel
HARDEN John W.
HENSLEY Dennis Craig
JUMP Misty M.
KAUFER Zander
KETTLEHAKE David
KRINSKY Philip
LEIGH Lizzy
LOOS Michael
MESS John
OWENS Jim
PEAKE Michael
POPOLIN Joanne
ROWLANDS Jerry
STORCK Chris
VANDERPLOUGH John
WALDFOGLE Jim
WALKER Robert Alan
WILLET William
YOCHUM Kurt
ZIMMERMAN-GRUBBS Myra
Résumé

A quelques jours des traditionnelles réjouissances de Noël, en cette fin d'année 1952, Carol Aird, une élégante jeune femme, désinvolte et fortunée, déambule entre les rayons d'un grand magasin, à la recherche d'un cadeau pour sa petite fille Rindy, une enjouée gamine qui ne comprend pas encore que ses parents sont en instance de divorce et que sa mère ne viendra pas pour les prochaines festivités qui s'annonçaient, chez les beaux-parents de son conjoint, comme à chaque événement familial ou calendaire. Au rayon des jouets, elle aperçoit une demoiselle, vendeuse de son état, qui l'observe et la scrute dans une sorte d'aimantation réciproque, et sur ses conseils va acheter un train électrique, laissant ses coordonnées pour une livraison et oubliant ses gants. Thérèse Belivet, la jeune et jolie employée qui vient de la servir, s'enquérit quelques jours plus tard du bon acheminement du ludique achat et tout naturellement va accepter, la proposition de partager un frugal dîner, durant la pause méridienne, avec la séduisante cliente qu'elle n'a pas oubliée, malgré les attentions de son vague petit ami Richard. Une agréable collation ponctuée de quelques échanges pour mieux se connaître et une invitation pour le week-end suivant dans la vaste demeure patriarcale...

>>> Rarement au cinéma, la sidération amoureuse n'aura été filmée avec un telle acuité émotionnelle, dans une subtile et gracile préciosité affective qui donne aux sentiments leur intangible primauté, quelles que soient leur nature, leur affirmation et leur durée...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Romance inter-classe, à l'esthétisme "classieux" et lent, qui met en scène la rencontre entre une femme mal installée, étouffée par les conventions sociales, et une demoiselle un peu perdue, éblouie par les ors et la classe de la premiere et en laquelle elle va trouver sa Pygmalion. Si ce n'était deux amoureuses dont les conjoints réagissent comme des épouses éconduites, tout cela serait bien banal, la fin notamment, tellement archétypale des mélos américains (l'aimée laissée libre dans son choix finit par suivre son coeur après l'avoir refoulé). La partie road-movie façon THELMA ET LOUISE en 1953 est une réussite ; j'adore.