LES VAINCUS - 1936

Titre VF LES VAINCUS
Titre VO Traumulus
Année de réalisation 1936
Nationalité Allemagne
Durée 1h40
Genre DRAME
Notation 13
Date de sortie en France
Thème(s)
Suicide (Cinéma allemand) (est et ouest)
Milieu scolaire (Cinéma allemand) (est et ouest)
Cinéma allemand (ORIGINE)
Billard (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
FROELICH Carl
Chef(s) Opérateur(s)
KUNTZE Reimar
Musique
MILDE-MEISSNER Hanson
Renseignements complémentaires
Scénario : Erich Ebermayer
et Robert A. Stemmle .....
d'après une pièce d'Arno Holz
et Oskar Jerschke .....
Acteurs
JANNINGS Emil
WEISSNER Hilde
PAULSEN Harald
BARKO Hildegard
KRÜGER Wilhelm Paul
STELZER Hannes
SCHAUFUSS Hans Joachim
RICHTER Hans
MÜLLER Rolf
KRAFT-HOHENLOHE Alexander
VON STOLZ Hilde
HÜBNER Herbert
WALDOW Ernst
STOECKEL Otto
FRITZ Bruno
FROELICH Hugo
BRIESE Gaston
ROSEN Max
STEINBECK Walter
WERNER Walter
ETLINGER Karl
BRAUSEWETTER Hans
FRANK Harry
LEGAL Ernst
EHSER Else
MÖBIUS Rolf
SCHMIDT Akim
VOGT Werner
BAEDECKER Peer
JEGER Peter
BRAUN Hermann
SCHOTT Eberhard
BIENENSTEIN Walter
KLICKS Rudolf
THORNEGG Hella
MATEO Eugen
BARTEN Fredy
REPPERT Karl-Heinz
EGGER-SELL Wilhelm
DENGLER Eugenie
NADLER Gerd
Résumé

Le vieux professeur Gotthold Niemeyer, maintenant directeur du lycée royal d'une petite ville du nord de l'Allemagne, a pris en pension les élèves de la classe de terminale de son établissement. L'un d'eux, l'athlétique Kurt von Zedlitz, avait discrètement déserté le dortoir collectif, en utilisant, avec la complicité de quelques camarades, une échelle mobile de fortune, pour quitter la chambrée et passer une partie de la nuit au "Paon doré", un établissement nocturne et intimiste de la région et aussi dans le petit appartement de Lydia Link, une actrice de théâtre aux mœurs relativement légères. Le garçon aurait été aperçu vers six heures du matin, quittant les lieux de son libidineux délit, par quelques noctambules affairés dont un vigilant agent de police de la cité. Toute la ville est bientôt au courant de cette nocturne incartade du garçon, hormis Niemeyer, guère au fait des préoccupations adolescentes de l'époque et ayant dans ses garnements, une confiance aveugle et bornée. Notre directeur va effectivement tomber de haut en apprenant la vérité, devenir quelque peu la risée d'une partie de ses concitoyens et sombrer dans un profond abattement à l'annonce du suicide de Kurt, n'ayant pu assumer les remontrances et les reproches de son vieux directeur...

>>> Même si l'œuvre s'appréhende comme fort bavarde, en partie à cause de ses origines théâtrales flagrantes, on appréciera surtout l'épatant et séduisant numéro d'Emil Jannings qui cabotine à merveille dans le pathos et la dramaturgie, des registres qu'il maîtrise parfaitement, avec une subtilité et une délectation évidentes...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)