Julius et Vincent sont "jumeaux". En fait, le fruit d'un complexe cocktail génétique de six personnes ayant des capacités physiques et intellectuelles hors de la norme. Trente cinq ans plus tard, ils vont enfin se rencontrer...
>>> Jouant sur la totale dissemblance morphologique (le géant Schwarzenegger face au minuscule De Vito) psychologique et morale (l'un est un être doux d'une gentillesse déconcertante, l'autre un petit truand amoral) le film ne crée pourtant guère de surprise.
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 418
Critiques (Public)
Les Schwarzydolâtres vont être vraiment déboussolés. Leur préféré dans une comédie rose bonbon, il fallait le faire ! Ce film a bien de la pêche. Tonique, il clame haut et fort sa devise : "Touche pas à mon frangin". Sur quoi, le duo Schwarzenegger, DeVito fonctionne à merveille. Comme sur des roulettes. Alors, on remet çà? (Olga von Clap) PS: Danny DeVito ne serait-il pas le jumeau caché de Robert DeNiro ? La ressemblance est troublante !
Quelle heureuse surprise... On peut parler d'une reconversion réussie de ce brave Schwarzie. Apres un premier ratage, dans "Double Détente", "Twins" est l'exemple même de la comédie de qualité! Mais n'oublions pas Dany De Vitto ("Y'a-t-il quelqu'un pour tuer ma femme?") dont la drôlerie et la qualité de l'interprétation prouvent encore une fois qu'il est à l'aise dans ce genre de films.(Ernst Stavro Blofeld 03/04/89)
Un parallèle intéressant est à faire entre deux films sortis presque simultanément et traitant tous deux de retrouvailles de frères qui ignoraient leur existence respective : « Jumeaux » et « Rain man ». Dans les deux cas, ceci donne lieu à des scènes hautement folklo, du genre voyage (donc parcours initiatique, et découverte de l'autre par le biais de l'espace restreint du cockpit de la voiture et pour le réalisateur du road-movie) ou encore l'achat de costards neufs (avec l'incontournable panoramique ascendant). Et vive les stéréotypes ! (ELIE ELIE)