CAFE SOCIETY - 2015

Titre VF CAFE SOCIETY
Titre VO Café society
Année de réalisation 2015
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h36
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 17
Date de sortie en France 11/05/2016
Thème(s)
Taxis (Cinéma américain)
Billard (tous pays confondus)
Balançoires (tous pays confondus)
Motels (Cinéma américain)
Coiffeurs et barbiers (tous pays confondus)
Jazz
Représentant(e)s du culte (Cinéma américain)
Juifs (Cinéma américain)
Jeux (dés) (tous pays confondus)
Milieu judiciaire et juridique (Cinéma américain)
Noël et Réveillon (Cinéma américain)
Pont de Brooklyn (NY) .....
Milieu du cinéma (Cinéma américain)
Bains et piscines (tous pays confondus)
Prostitution (Cinéma américain)
Central Park (New York)
Prisons (Sing Sing)
Réalisateur(s)
ALLEN Woody
Chef(s) Opérateur(s)
STORARO Vittorio
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Woody Allen
Distribution : Mars Distribution

Nota : pour Woody Allen, uniquement la voix (narration) .....
Acteurs
LIVELY Blake
STEWART Kristen
EISENBERG Jesse
CAMP Anna
CARELL Steve
ROHRBACH Kelly
STOLL Corey
POSEY Parker
LEE Sheryl
SCHNEIDER Paul
STARK Don
SIRICO Tony
STOTT Ken
GORN Lev
ADLER Max
D'IYN Shae
GARO Armen
KUNKEN Stephen
BERLIN Jeannie
BINKLEY Gregg
PORTNOW Richard
AVILA Magi
CELESTE Liz
VERNOFF Kaili
LENNICK Sari
FRAZER Tess
DELANEY Lynne Alana
BILGER Bettina
CARR Taylor
KEMP Tom
SCHACKMAN Paul
ELIAN Michael
HYLAND Edward James
WALKER Craig
WATERS Tom
CARLISLE Jodi
DI MARIA Anthony
STEIN Saul
ROSEN Steve
TILLINGER Sebastian
FRANZA Raymond
HANNIGAN Jamie Marie
TUMANOVA Nadia
EDELSON Kenneth
ELIASOPH Scott
CORAPI Richard R.
MIHAILOV Bianca
ROUTMAN Steve
MAC INNIS Tommy
EDMONSON Kat
RAPPOPORT Kate
KNAUF Kyle
RIZK Eric
ASHKENAS Rob
GARFANTI Steve
KALINOV Vivian
BLIGH James Thomas
GIORDANO Vince
LIEU Fran
MANCINI Joe
CRESPO Estefania
FLEISCHER Neil
HOWARD Rosemary
HOYT Katrine
SHORE Nancy Ellen
ALLEN Woody
Résumé

Bien décidé à voler de ses propres ailes et à quitter la sphère familiale un peu trop pesante, entre un avenir serti dans la bijouterie paternelle et d'inavouables occupations en compagnie de son frère Ben, un gangster en pleine ascendance criminelle et bétonneuse, Bobby Dorfman s'en vient depuis son natif quartier populaire new-yorkais du Bronx, aux fastes et au lucre de l'attrayante cité du cinéma, Hollywood, dans laquelle, son oncle Phil Stern gère avec efficacité et brillance, une florissante agence artistique et les plus représentatives personnalités du 7e Art de ces prospères années 1930. Après avoir fait le siège durant trois semaines des bureaux de cet influent parent, toujours indisponible, entre vrais rendez-vous d'affaires et faux imprévus de dernière séance, Bobby parvient enfin à le rencontrer et à décrocher un vague emploi de coursier. C'est d'ailleurs en attendant quotidiennement cette entrevue avec son oncle, que notre sympathique jeune homme fera la connaissance de la pétulante Vonnie, la secrétaire particulière de son lointain et fortuné tonton, dont il s'amourache avec conviction et ravissement, malgré les aveux de cette dernière qui lui confie que son cœur est déjà pris, une situation gênante et problématique qui n'empêche nullement une agréable et forte complicité entre les deux tourtereaux en puissance. Quelques semaines plus tard, la situation semble se décanter avec évidence et netteté, lorsque nous apprenons que l'amant mystérieux de Vonnie n'est autre que l'oncle de Bobby et qu'il renonce à poursuivre cette liaison, dans l'incapacité d'en assumer les aléas...

>>> Quarante-septième long métrage (et premier en numérique) du réalisateur, teinté d'une subtile mélancolie qui évite avec grâce et finesse les perceptibles écueils de l'amertume pour nous entraîner avec bonheur et sérénité, dans la discrète nostalgie des souvenirs et des songes, subtil point d'ancrage d'un passé (à) jamais révolu...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Libération du 12 mai 2016
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Un bon Woody, toujours valsant avec élégance autour des mêmes thèmes intemporels ... Illustration ici d'une certaine vénalité féminine qu'il décide de nous montrer avec une légèreté nostalgique. Le jeu des acteurs est évidemment impeccable. Ce film laisse à la fin un goût un peu amer, une tristesse nuancée ... La préférence du confort au joyau de l'Amour ; éternel dilemme, finalement consentie par les deux parties.