LE PERE DU SOLDAT - 1965

Titre VF LE PERE DU SOLDAT
Titre VO Jariskatsis mama
Autres titre VO Otec soldata
Année de réalisation 1965
Nationalité Union Soviétique / Géorgie
Durée 1h31
Genre DRAME DE GUERRE
Notation 15
Date de sortie en France
Thème(s)
Bateaux (Ferries et autres bacs)
Trains et gares (Cinéma soviétique et russe)
Cinéma soviétique (1900-1990) (ORIGINE)
Cinéma géorgien (ORIGINE)
Milieu vinicole / Vendanges (tous pays confondus)
Milieu médical (Autres pays)
Frontières (tous pays confondus)
Deuxième Guerre Mondiale (Cinéma des pays de l'Est)
3e âge (Autres pays)
Réalisateur(s)
CCHEIDZE Rezo
Chef(s) Opérateur(s)
SUKHOV Lev PILIPASHVILI Archil
Musique
TSINTSADZE Sulkhan
Renseignements complémentaires
Scénario : Suliko Jgenti
Acteurs
ZAKARIADZE Sergo
PRIVALTSEV Vladimir
NAZAROV Aleksandr
LEBEDEV Aleksandr
KOLOKOLTSEV Vladimir
URALSKI Viktor
BOCHORISHVILI Qetevan
PITSEK Vladimir
LYUBESHKIN Pyotr
KOSYKH Ivan
BARMIN Nikolai
VYKHODTSEVA Inna
MAKSIMOVA Yelena
VILDAN Roman
MURATOV Radner
GOGINAVA Bondo
MIZIN Victor
KOSYKH Viktor
NIJARADZE Irakli
KULIK Valentin
KOBAKHIDZE Gizhuri
QOQRASHVILI Irakli
ZHARIKOV Vyacheslav
Résumé

C'est avec quelques compréhensibles appréhensions et l'aval appuyé de sa famille et des villageois, que le vieux paysan géorgien Makharashvili abandonne sa vigne et les siens pour se rendre auprès de son fils tankiste, blessé lors des derniers affrontements de l'armée soviétique avec les envahisseurs nazis. Un fastidieux périple, à pied, en charrette, bus et train, commence pour le vaillant bonhomme qui se conclut, arrivé à l'hôpital de garnison par l'annonce, mi rassurante, mi décevante, de la guérison de ce dernier, mais aussi de son nouveau départ au front, dans la région de Demidoro où son paternel courroucé décide de se rendre. Mais son laisser-passer pour une libre circulation ne lui permet pas de rejoindre cette région en rude confrontation avec les forces allemandes. C'est donc clandestinement sur un convoi ferroviaire militaire qu'il parvient vaille que vaille à destination, mais rapidement arrêté par un responsable de l'armée russe, irrité de la présence d'un civil en zone de combat. Finalement, notre futé patriarche parvient à convaincre l'officier de l'engager tout simplement dans la troupe. Se voyant affecté aux corvées d'eau et de bois dans une section féminine qui s'occupe de la lessive de la garnison, Makharashvili manifeste rapidement sa déception et son mécontentement de ne pas se retrouver à la pointe des affrontements...

>>> Une heureuse et positive conjonction cinématographique (un acteur imposant et un réalisateur talentueux) a suffi pour produire ce bienvenu film géorgien par-delà l'habituel et sempiternel hymne au courage du combattant soviétique, ici mis en sourdine et catimini, sans débordement excessif et plastronneur...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)