CONVERSATIONS NOCTURNES - 1988

Titre VF CONVERSATIONS NOCTURNES
Titre VO Talk radio
Année de réalisation 1988
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h50
Genre DRAME
Notation 15
Date de sortie en France 12/04/1989
Thème(s)
Radios (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
STONE Oliver
Chef(s) Opérateur(s)
RICHARDSON Robert
Musique
COPELAND Stewart
Renseignements complémentaires
Scénario : Oliver Stone
d'après la pièce d'Eric Bogosian
qui a collaboré au scénario .....
et le livre de Stephen Singular
Distribution : Capital Cinéma

Visa d'exploitation : 69 704

Nota : pour les douze derniers acteurs, uniquement la voix .....
Acteurs
BOGOSIAN Eric
GREENE Ellen
HOPE Leslie
MAC GINLEY John C.
BALDWIN Alec
WINCOTT Michael
PANKOW John
ATKINSON Linda
TREBOR Robert
GRENIER Zach
FRANK Tony
JORDAN Harlan
REDGLARE Rockets
THOMSON Anna
CORDUNER Allan
JOHNSON Bill
RUBEO Bruno
HOWARD Kevin
MAC DONALD Pirie
COCHRAN Mimi
BELL Theresa
WYNNE Angus 3
PYNTER David
MOODY Chip
ZAPP Peter
KISSIN Carl
OVERALL Park
MARIANA Michele
HINDMAN Earl
SEITZ John
MAC CLARAN Kyle
PYLAND Dee
ESCOBAR Daniel
DE ACUTIS William
MEISTER Frederica
BARAJAS Luis
Résumé

L'incroyable émission d'un animateur radio, Barry Champlain, qui provoque et agresse ses auditeurs pour obtenir réactions et attention. L'ingénieux homme de radio de la station KGAB a pour principe de laisser à ses moult auditeurs, une totale liberté de paroles, lors de leurs appels. Il draine ainsi un torrent de haine, d'angoisse, de phantasmes et de racisme. L'imposant succès de l'émission finit par dépasser notre bonhomme et une diffusion sur le réseau national est fortement envisagée...

>>> Fascinant et pessimiste à l'extrême !

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 418
Critiques (Public)
L'aliénation d'un homme, perdu dans la jungle des mots, dans une Amérique aliénée par ses hantises, autant dire que Talk Radio est un film noir. Noir, parce que sa vision de l'Amérique, entre fachos, junkies et tarés de toutes sortes, est tout autre qu'idyllique. Talk Radio est fascinant. Pour cette vision noire mais aussi pour le jeu étourdissant d'Eric Bogosian (par ailleurs co-scénariste) et pour la caméra virevoltante et le montage speedé d'Oliver Stone. On en ressort abasourdi par tant de violence tapie derrière les mots. (D.W.Graphite)