SEDUCTEURS - 1929

Titre VF SEDUCTEURS
Titre VO Hojt paa en kvist
Autres titres VF PAT ET PATACHON, PRINCES DE LA MODE
Autres titres VF MANNEQUINS
Autres titres VF ROIS DE LA MODE
Année de réalisation 1929
Nationalité Danemark
Durée 1h32
Genre COMEDIE BURLESQUE
Notation 12
Date de sortie en France
Thème(s)
Ramoneurs (tous pays confondus)
Cinéma danois (ORIGINE)
Travestis(sement) (Autres pays)
Voyances, cartomancie et autres divinations (tous pays confondus)
Hoquet (tous pays confondus)
Boxe (Autres pays)
Homme-sandwich (tous pays confondus)
Fantômes (Autres pays)
Rats et autres souris (tous pays confondus)
Faux-monnayeurs (tous pays confondus)
Milieu judiciaire et juridique (Autres pays)
Héritages et testaments (Cinéma danois)
Maisons hantées (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
LAURITZEN Lau
Chef(s) Opérateur(s)
BENTSEN Carlo
Musique
GYLDMARK Sven
Renseignements complémentaires
Scénario : Lau Lauritzen

Nota : la musique a été rajoutée en 1943 .....
Acteurs
SCHENSTROM Carl
MADSEN Harald
WULFF Victor
KOFOED Gerda
VIBY Marguerite
KALCKAR Nina
TYRON Bruno
SCHONFELD Emmy
FELUMB-FRIIS Mathilde
SUHR Alex
ARHOFF Christian
HASS CHRISTENSEN Emil
ANDERSEN Asbjorn
BENDIXEN Aage
DE VERDIER Anton
JENSEN Arthur
LAURITZEN Lau
MALBERG Henrik
Résumé

Pat et Patachon vivent dans la petite pension Fortuna, à Copenhague, avec dans l'immeuble en face, deux charmantes voisines, les sœurs Dolly, qu'il est toujours fort agréable de regarder pratiquer leurs matinaux exercices rythmiques et avec lesquelles ils échangent régulièrement d'aériennes missives, quelquefois fort dangereuses et difficiles à récupérer. L'intérêt des demoiselles pour leurs vis-à-vis s'explique par une méprise identitaire de leur part, les prenant pour les "Mosquitos" des artistes mondialement célèbres à cause de leur fameux saut de la mort à Pise. Et voilà que débarque la vieille Amanda Habakuk, une réputée diseuse de bonne aventure, qui demande à Patachon de la remplacer, le temps de quelques urgents soins dentaires. Une occasion pour notre doublure, grimée et travestie, de faire un éloge auto-dithyrambique aux deux frangines venues en consultation. Malgré d'incessantes chamailleries avec un autre voisin, boxeur, aussi fort intéressé par les demoiselles, une soirée est organisée. Ce dernier vient récupérer deux costumes qui ont été livrés lors de son absence, chez Pat et Patachon, guère gênés de les endosser immédiatement, pour faire plus chic et plus présentable. Il aura droit à un verre d'un prétendu apéritif, en fait de l'eau de Cologne que Patachon avait remplacé après que la fameuse bouteille se soit malencontreusement renversée. Et puis ce sera au tour de la logeuse, venue réclamer son loyer mensuel, de goûter à la vomitive mixture. Croyant pouvoir maintenant donner une raclée au voisin pugiliste, en fort mauvais état après sa nauséeuse ingurgitation, Patachon se rend chez lui en gants de boxe, pour recevoir, malgré tout, une mémorable raclée, l'incitant désormais à s'entraîner durement avec un coriace punching-ball. Pendant ce temps, l'assistant d'un notaire vient annoncer à son patron qu'il a enfin retrouvé l'héritier inconnu d'une colossale fortune américaine qui travaille actuellement, avec un ami, comme homme-sandwich pour la célèbre et sportive maison de couture Olympic. Le lendemain, Patachon, l'heureux destinataire de ce legs inattendu et mirobolant, reçoit un courrier de maître Schweigsam l'invitant à passer d'urgence à son cabinet. Le fourbe personnage met tout en place pour que Patachon s'intéresse à Dolorès, sa propre fille, créer un semblant de fiançailles, pour ainsi s'accaparer indirectement l'héritage. Invités à un pique-nique par le notaire et sa fille, Pat et Patachon se trouvent surpris par un violent orage et se réfugient avec leurs hôtes, sous le porche d'un vieux manoir prétendu hanté, en fait le refuge du voisin boxeur et de sa bande de faux-monnayeurs. Une descente de police va remettre les pendules à l'heure et une session au tribunal rétablir enfin la vérité...

>>> Un peu moins pire que le reste de la production habituelle du réalisateur, avec quelques rares gags bienvenus pour un ensemble qui dans sa globalité ne dénote que peu des films précédents, faisant dire que lorsqu'on en a visionné un, on les a vus tous. Une duplication répétitive qui est peut-être à l'origine d'un certain succès populaire...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)