Abel Guavez, fuyant la révolution qui ensanglante son pays, se réfugie au coeur de la forêt amazonienne, près du fleuve de l'Orénoque. Il trouve refuge auprès d'une tribu d'Indiens à la tête de laquelle se trouve le dénommé Runi. Mais les autochtones sont fort superstitieux et croient qu'une sorcière blanche hante la contrée. En fait, il s'agit d'une jeune fille vivant avec son grand-père...
>>> Magnifiques photographies et décors somptueux, mais le reste laisse à désirer...
Bibliographie
Critiques (Public)
Un de mes premiers grands coups de foudre de jeune cinéphile, il y a une quinzaine d'années. Ah, la beauté fraîche et virginale (sic) d'Audrey Hepburn ! La scène de fin, celle du retour d'Anthony Perkins au paradis perdu (et de l'annonce de la mort de la belle) est inoubliable. Bien entendu, ce film est typiquement dans la grande veine américaine, ethnocentriste et au racisme larvé, mais comment ne pas compatir avec cette jeune fille pure et blanche, persécutée par ces indigènes primitifs et obscurantistes, qui anéantissent son bonheur terrestre ? (ELIE ELIE)