Blessé gravement aux yeux, (nous sommes en province sous l'Occupation) Pierre Segur trouve refuge chez une jeune femme d'âge mûre, Jeanne Moncatel, vivant seule avec sa tyrannique mère. Rapidement un sentiment amoureux naît entre les deux, à l'insu de la vieille qui ignore absolument la présence du jeune homme. Se croyant laide et sans intérêt, Jeanne s'inquiète de plus en plus de la possibilité de retrouver la vue, après une opération, à la Libération, de son amant...
>>> Excellente Françoise Rosay, pour un exécrable Jean-Claude Brialy, dans une oeuvre fort moyenne, d'un cinéaste sans réelle envergure...
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