Vincent Parry, accusé du meurtre de son épouse, s'échappe du pénitencier où il est détenu à tort. Recueilli par une jeune peintre, Irène Jansen, il va tenter de se disculper après avoir subi une opération de chirurgie esthétique lui donnant un nouveau visage .....
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1948/49
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Midi Minuit Fantastique numéro 9
- Télérama numéro 742
- L'Ecran Français numéro 159
- Positif numéros 228 et 341/342
- Saison Cinématographique 1948/49
- Cinéma numéro 313
- La Revue du Cinéma numéro 445
Critiques (Public)
Un petit joyau comme on n'en fait plus. Bogey n'apparaît qu'au bout d'une heure de film (!!!). Durant toute cette première partie, la caméra adopte le point de vue du fugitif (Bogart), ce qui nous vaut d'audacieuses acrobaties visuelles. Le film (scénario) est une oeuvre typique d'après-guerre, avec son anti-héros complètement désorienté qui doit affronter une mégère (Agnès Moorehead) tellement insupportable qu'on a envie de la trucider dès qu'elle "ramène sa poire". La surprise du film : tout le monde aide le fugitif contre la police et les autorités ! Si ce n'est pas un appel à la sédition...(ELIE ELIE)