L'AMOUR EST UNE GRANDE AVENTURE - 1988

Titre VF L'AMOUR EST UNE GRANDE AVENTURE
Titre VO Skin deep
Année de réalisation 1988
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h39
Genre COMEDIE
Notation 12
Date de sortie en France 14/06/1989
Thème(s)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma américain)
Combats de coqs (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
EDWARDS Blake
Chef(s) Opérateur(s)
MANKOFSKY Isidore
Musique
GRADY Don
Renseignements complémentaires
Scénario : Blake Edwards
Distribution : Deal / UGC
Produit par Tony Adams

Visa d'exploitation : 70 556
Acteurs
RITTER John
GARDENIA Vincent
REED Alyson
BROOKS Joel
FIELD Chelsea
PHILLIPS Julianne
DONAT Peter
GORDON Don
FOCH Nina
CROSBY Denise
KIDD Michael
GENESSE Bryan
HOLLITT Raye
RESCHER Dee Dee
SWANSON Brenda
MAC KEE Jean-Marie
PAINE Heidi
FOXWORTH Bobby
BARTON Diana
HOPKINS Bobb
HABER Karen
TRINIDAD Arsenio S.
BURLEIGH Robert
TANNEY Sol vang
TOLL Judy
RALPH Sheryl lee
ATTELL Toni
HARTIGAN Ben
ARTHUR Robert
CARROLL Deryl
DOWDELL Robert
ARNOLD Harlan
MAC CANN John (2)
HUBBARD KNIGHT William
GOLDSTEIN Mark
JAMAL Sati
MAXWELL Don
CURRAN John
KRAFT Scott
DE FUSCO Ed
DOMEIER Richard
MAJEWICZ Richard
DICKSON Diane
RICHARDS Charles David
COVEN Laurence
DUNNE Joe
PAUL Victor
Résumé

"Boire et déboires" amoureux d'un écrivain nommé Zach qui ne peut s'empêcher de draguer toutes les femmes qu'il côtoie quotidiennement. Lorsque son épouse demande le divorce, il se rend finalement compte, combien son attachement pour elle est réel et va tout tenter pour la reconquérir. En fait, ses moult aventures érotico-sentimentales sont en fait toutes de percutants échecs, que ce soit avec la compagne d'un guitariste de rock, une puissante body-buildée, un mannequin...

>>> Honnête divertissement d'un metteur en scène spécialisé dans la comédie dont on retient surtout la fameuse scène des préservatifs luminescents...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 421
Critiques (Public)
Une suite à "TEN", tout bêtement, John Ritter remplaçant avantageusement, mais dans le même registre (chansons au piano comprises) l'insupportable Dudley Moore. Blake Edwards a tellement peu d'idées nouvelles qu'il continue à faire courir son héros derrière tout ce qui ressemble peu ou prou à une femelle alors que les States sont en pleine terreur sida. Ce donjuanisme est moins une provocation qu'un immobilisme scénaristique. Il y a d'ailleurs tellement peu d'effort, dans ce film, qu'on peu même remarquer, à un moment, une tâche sombre sur le mur où Ritter s'apprête à se cogner la tête avant qu'il ne l'ait fait, tâche subsistant de prises précédentes... (ELIE ELIE)

"Blague" Edwards pose ici un regard narquois sur la condition de l'homme américain. Les tribulations amoureuses d'un "ex-mari" sont ici prétexte à un marivaudage, ma foi, pas désagréable, mais qui ne casse pas la baraque à moins d'apprécier un certain humour américain (écrivain à succès, barman, confident, "parties", beuveries, psychanalyste-REconfident, etc.). Les séquences des préservatifs fluorescents sont particulièrement loufoques. Ce sont celles qui resteront de ce film finalement bien gentillet. (D.W.Graphite)