LE SOLEIL DES VOYOUS - 1967

Titre VF LE SOLEIL DES VOYOUS
Titre VO Il piu grande colpo del secolo
Année de réalisation 1967
Nationalité France / Italie
Durée 1h40
Genre POLICIER
Notation
Date de sortie en France 31/05/1967
Thème(s)
Boudard (Alphonse)
Vélosolex (tous pays confondus)
Flippers (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
DELANNOY Jean
Chef(s) Opérateur(s)
WOTTITZ Walter
Musique
LAI Francis
Renseignements complémentaires
Scénario : Jean Delannoy
et Alphonse Boudard .....
Dialogues : Alphonse Boudard
d'après le roman de J.M. Flynn :
"The action man" .....
Produit par Raymond Danon
Distribution : Comacico

Visa d'exploitation : 32 231
Acteurs
GABIN Jean
STACK Robert
FLON Suzanne
LEE Margaret
GILLER Walter
TOPART Jean
AMINEL Georges
BOGAERT Lucienne
LYCAN Georges
NELL Carlo
MUSSON Bernard
FABIOLE Luce
VALERY Olga
DESAILLY Nicole
SANDREL Micheline
ALBERT-MICHEL
ZARDI Dominique
INGARAO Bob
COUTET Henri
FRADET Roger
VIRET Louis
KOULAK Pierre
SARRAY Yvon
KAMPETIAN
DORO Mino
FRANCOMME Edouard
DALAT Jo
MONCORBIER Pierre-Jacques
MARIN Antoine
BISCIGLIA Paul
MALET Roland
BARSACQ Yves
NASTORG Michel
SEVENO Maurice
BAUD Antoine
JANEY Alain
GASSOUK Marcel
Résumé

Deux anciens truands reconvertis dans les affaires honnêtes, Denis Farrand et Jim Beckley, refont connaissance et décident par désoeuvrement, un dernier grand coup avant de prendre leur retraite. En effet, en face de la petite auberge, tenue par Farrand et son épouse Marie-Jeanne, se trouve une séduisante agence bancaire. Cet ultime casse sera loin d'être une parfaite réussite...

>>> Malgré le métier de Jean Delannoy, le film ne réserve guère de surprises majeures, dans un traitement du genre, mille fois déjà vu et revu au point d'en devenir lassant...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Amusant de voir Eliot Ness venir tâter de la fourgonnette et du bar à putes dans un polar à la française, dominé par un Jean Gabin au tour de taille jupitérien. Le concept de la star américaine en perte de vitesse dans son fief, venant astiquer son blason sur d’autres terres, n’est pas toujours du meilleur gout. Laurel et Hardy dans les années cinquante avec le désastreux Atoll K avait déjà essuyés les plâtres de ce concept à risques. Dans une première analyse, c’est comme si Robert Stack en perte de vitesse, quittait un grand club de football espagnol, pour venir finir sa carrière dans l’hexagone. Ce traitement basique, contant la reconstitution dans la tourmente d’un duo fraternel de baroudeurs chaleureux, possède son unique valeur de prestige dans la récupération d’une grosse pointure. "Les incorruptibles", célébrissime série américaine télévisée dans les années soixante, permet au "Soleil des voyous" d’en récupérer la pièce maîtresse le temps d’un film. Cette époustouflante transaction pour l'époque enrobe ce produit standard de toute sa lumière. Quand au traitement sans être flamboyant, il se regarde comme un produit du genre, avec ses malfrats calibrés à la française, auxquels Robert Stack essaie de s'adapter le mieux qu'il peut avec un timbre de voix sonore, semblant plus phonétique que réellement verbal. Suzanne Flon épouse effacée est merveilleuse de simplicité, en faisant comme d’habitude semblant de ne rien comprendre. JIPI