Un matin comme tant d'autres, Jean-Marc se rend à son lieu de travail dans la capitale. La journée s'annonce plutôt mal. Une femme inconnue lui écrase les orteils dans le métro avec son incisif talon-aiguille. Puis, sur la partie du trajet qu'il effectue à pied, il heurte un ivrogne qui reste allongé sur le sol, raide et inanimé. Effrayé, Jean-Marc s'enfuit à toute vitesse et va désormais changer son itinéraire quotidien, évitant la place de l'Etoile .....
Bibliographie
- Cahiers du Cinéma numéro 172
- Cinéma 1965 numéro 101
- Image et Son numéro 189
- Télérama numéro 825
Critiques (Public)
L'affaire est bien mince, en définitive. Charmé une première fois, on est vite déçu lors d'une seconde vision. Cependant, la séquence est sauvée par son humour à la Tati (auquel le film semble rendre un hommage implicite) et par la curiosité des images de l'époque (la place de l'Etoile en chantier, etc.) (ELIE ELIE)