Seconde oeuvre surréaliste de Luis Bunuel composée de six-cent vingt-huit plans qui commence par la présentation quasi documentaire de quelques scorpions, se poursuit par la description d'une île mystérieuse gardée par des squelettes d'archevêques, l'inauguration d'un ville (Rome), un couple qui fait l'amour dans la boue, une réception mondaine, un garde-forestier qui tire sur son fils. D'autres scènes délirantes, une orgie au château de Selliny avec le Christ comme convive...
>>> Inénarrable, inoubliable, inimitable !
Bibliographie
- La Revue du Cinéma n° MdC 12
- Avant-Scène numéros 27/28
- Positif numéros 238, 247, 392, 488, 520 et 578
- Cinématographe numéros 69 et 73
- La Revue du Cinéma numérs 157 et 365
- 1895 numéro 32
- Avant-Scène numéros 315/316
- Zeuxis numéros 24
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinéma numéros 69, 73, 102, 271/272
- Les Cahiers de la Cinémathèque numéros 30/31
- Saison Cinématographique 1968
Critiques (Public)
Ce film, peut-être le plus subversif de l'histoire du cinéma, n'a pas heureusement été interdit à sa sortie à Paris. Tout au plus, d'après un rapport de police de l'époque, les cannes ont été laissé au vestiaire sans incident. Le vieux cinéphile lui imagine avec nostalgie ce qu'aurait pu être une bataille de cannes généralisée à la René Clair.
G FAUCON