UNE SAISON BLANCHE ET SECHE - 1989

Titre VF UNE SAISON BLANCHE ET SECHE
Titre VO A dry white season
Année de réalisation 1989
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h46
Genre DRAME
Notation 14
Date de sortie en France 08/11/1989
Thème(s)
Racisme (Cinéma américain)
Apartheid
Tortures
Milieu judiciaire et juridique (Cinéma américain)
Rugby (tous pays confondus)
Jeux (échecs) (tous pays confondus)
Graphologie (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
PALCY Euzhan
Chef(s) Opérateur(s)
GLENN Pierre-William PIKE Kelvin
Musique
GRUSIN Dave
Renseignements complémentaires
Scénario : Colin Welland
et Euzhan Palcy .....
d'après le roman d'André Brink
Distribution : UIP

Visa d'exploitation : 71 712
Acteurs
SUTHERLAND Donald
SUZMAN Janet
MOKAE Zakes
PROCHNOW Jürgen
SARANDON Susan
BRANDO Marlon
NTSHONA Winston
NTSHINGA Thoko
MAGUIRE Leonard
THOOLEN Gerard
HARKER Susannah
WHALEY Andrew
ELMES Rowen
DE KEYSER David
DICKIN Stella
KANI John
MPOFU Bekhitemba
MGCINA Sophie
MAKONI Tinashe
PHIRI Precious
WILSON Richard
GAMBON Michael
PICKUP Ronald
BROOKE Paul
HENEKOM Derek
NDHLOVU Ernest
HANLY Stephen
PROCTOR Andre
JOHNSON Kevin
DAVIDSON Grant
GUMEDE Ndu
MAAKE Sello
PILLAI Charles
MARTIN Rosemary
ZWENDI Willie
DAVIDS Mercia
MANIMANZI Anna
DE VILLIERS Mannie
GOLDING Leroy
Résumé

Afrikaner bon teint, apolitiquement tolérant, le professeur d'histoire, Ben Du Toit, mène une existence sans histoire et sans questionnement superflue sur la politique d'apartheid menée par son pays. Il faudra la mort de Gordon, le fils de son jardinier noir, pour le faire réfléchir et l'assassinat de ce dernier sous la torture, pour le décider à se battre enfin contre l'injustice et l'horreur du système...

>>> Une oeuvre dénonciatrice et salutaire qui marque le retour de Marlon Brando, méconnaissable, en avocat de la bonne cause...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 425
Critiques (Public)
Et quand on pense que ce film est en dessous de la réalité... Pendant toute la durée du film, les paroles prononcées par les Blancs qui sont pour l'apartheid sont tellement révoltantes qu'au moment où le directeur de l'école vire Donald Sutherland parce qu'il défend son jardinier, je me suis écrié devant 300 personnes : "Casse lui la gueule" au même moment, le directeur se prend une gifle magistrale. Bien fait. CINEPHAGE

Les bonnes causes ne font pas forcément les bons films. Elles font d'ailleurs souvent le contraire quand, comme "Une saison blanche et sèche", elles s'empêtrent dans un sentimentalisme de larmes et de sang et dans un manichéisme primaire. Le film, qui semble conçu si on en juge par son esthétique pour la télévision, est certes une adaptation honnête du roman d'André Brink. Mais ses effets de manche sentimentalistes sont autrement ravageurs. Seul Marlon Brando, immense, vaut le déplacement. (Graphite)