LA FEMME DE ROSE HILL - 1989

Titre VF LA FEMME DE ROSE HILL
Titre VO Die Frau aus Rose Hill
Année de réalisation 1989
Nationalité Suisse / France / Allemagne / Grande-Bretagne / Italie
Durée 1h35
Genre DRAME
Notation
Date de sortie en France 22/11/1989
Thème(s)
Milieu rural (Cinéma suisse)
Amours interraciales (tous pays confondus)
Cinéma suisse (ORIGINE)
Racisme (Cinépa suisse)
Réalisateur(s)
TANNER Alain
Chef(s) Opérateur(s)
RYFFEL Hugues
Musique
WINTSCH Michel
Renseignements complémentaires
Scénario : Alain Tanner

Visa d'exploitation : 69 309
Acteurs
GAYDU Marie
ECOFFEY Jean-Philippe
PERON Denise
GUERTCHIKOFF Louba
JENDLY Roger
EPINEY Marie-Christine
STEIGER André
MICHEL Jacques
DEMIERRE Michel
TANNER Cecile
BESANCON Cats
CHAUMETTE Sarah
DURAND Gilles
FERNANDEZ Miguel (5)
SCARTON KIM Katia
GRBIC Georges
GUTMANN John
PASQUIER Geneviève
PUGIN Yann
MEYSTRE Jacques
CRESPILLO Juan Antonio
MUELLER Ronnie
SCHNORF Fabienne
TAILLEFER Jean-Luc
TEUSCHER Raoul
Résumé

La difficile intégration de Julie, une jeune Noire, qui vient d'épouser Marcel, un sympathique cultivateur suisse, et qui s'installe avec ce dernier, au fin fond d'un village helvétique .....

Bibliographie
- Première numéro 345
- Cahiers du Cinéma numéro 425
- Première numéro 152
- Télérama numéro 2080
- Revue du Cinéma numéros 454/455
Critiques (Public)
Voila un Tanner qui ne laissera pas un souvenir impérissable. L'histoire est improbable et dramaturgiquement faible. Il faut beaucoup de bonne volonté pour croire à ce que nous raconte le cinéaste, dont le seul mérite est d'avoir déniché une actrice au sex-appeal ravageur et d'avoir laissé Ecoffey s'assagir, hélas seulement jusqu'à mi-film. Mais ce sont là bien maigres satisfactions. Tanner est fatigué. (ELIE ELIE)

C'est un film fantastique de Tanner. La violence sous jacente de la société suisse face aux étrangers et aux mésalliances inconvenantes. Par ailleurs, le choix de femmes des îles par catalogue est effectivement en plein développement. Sur le plan esthétique, ce film est remarquable tant par ses photos que par la restitution de la lenteur du temps et de l'isolement des individus sans que cela soit pesant pour le spectateur. Bref j'ai trouvé ce film formidable. Et malgré le fond très dur, plein de chaleur humaine. Mais Dieu que les Suisses font peur...