LA REINE MARGOT - 1954

Titre VF LA REINE MARGOT
Titre VO La regina Margot
Année de réalisation 1954
Nationalité France / Italie
Durée 1h33
Genre HISTORIQUE
Notation
Date de sortie en France 25/11/1954
Thème(s)
Protestantisme
Companeez (Jacques)
Dumas (Alexandre) -père et fils-
Religions et croyances (Cinéma français)
Réalisateur(s)
DREVILLE Jean
Chef(s) Opérateur(s)
ALEKAN Henri HUBERT Roger DORMOY Roger
Musique
MISRAKI Paul
Renseignements complémentaires
Scénario : Abel Gance
d'après le roman d'Alexandre Dumas .....
Adaptation : Jacques Companeez
Dialogues : Paul Andréota
Caméra : Gustave Raulet
et Louis Née .....
Montage : Gabriel Rongier
Costumes : Rosine Delamare
Assistant-réalisateur : Louis Pascal .....
Distribution : Lux

Visa d'exploitation : 15 278

Nota : uniquement la voix pour Marc Valbel (narration) et pour Jacques Toja (celle d'Armando Francioli) .....
Acteurs
MOREAU Jeanne
ROSAY Françoise
GENES Henri
FRANCIOLI Armando
PORTE Robert
VERSINI André
MARI Fiorella
KERNER Guy
CECCALDI Daniel
SANIPOLI Vittorio
LARI Patrizia
ARBESSIER Louis
DE FUNES Louis
EYSER Jacques
LANIER Jean
CAUSSIMON Jean-Roger
TEMERSON Jean
RICHE Nicole
MATHOT Olivier
SAUVION Serge
TIELMENT Jean
DUVAL Jean
MOOR Robert
SAINT-CLAIR Guy
MOREL Jean
BON Jean-Marie
PREBOIST Paul
BLANCK Dorothée
BEZARD Jacques
BLANCARD René
COLLOMBET Andre
PAQUERETTE
LOMBARDI Carlo
VALBEL Marc
TOJA Jacques
Résumé

Pour réconcilier les deux communautés religieuses, catholique et protestante, depuis longtemps antagonistes, Catherine de Médicis a décidé de faire célébrer le mariage de sa fille, Marguerite de Valois, soeur du roi Charles IX, avec le jeune prince huguenot, Henri Bourbon de Navarre. Des intrigues et complots de Cour mènent rapidement au massacre de la Saint Barthélemy. Joseph de la Mole, ami et amant de la séduisante Marguerite (Margot) va payer de sa vie, sa fidélité...

>>> Premier film en couleur du metteur en scène, fort correctement réalisé...

Bibliographie
Critiques (Public)
Jeanne Moreau est une surprise dans le rôle, du moins pour les contemporains, car comparé à l'époque, elle avait un visage qui rappelait assez particulièrement le XVIème siècle. Le film est honnête, bien réalisé et Robert Porte (injustement oublié) en Charles IX fait une excellente création de roi hésitant, halluciné, tiraillé entre sa mère (Françoise Rosay) et sa sensibilité. Moins prétentieux,plus fidèle et mieux joué que la version de Chéreau. Moins important peut-être (mais bon, il y a des créations qui ne s'oublient pas : De Funès en nécromant, Rosay en Catherine de Médicis...)