Sur fond de traditionnelles grandes vacances (nous sommes en été 1958) la rupture d'un couple qui n'arrive plus à s'entendre sur rien. La plage, les enfants qui s'éveillent à l'amour, les habituelles tromperies estivales, etc...
>>> Le spectateur savait depuis longtemps que Diane Kurys n'avait pas grand chose à dire. Ses premières réalisations pouvaient encore, à la rigueur faire illusion, mais tout ici reflète une totale vacuité. Médiocrité des situations autant que des comédiens...
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 457
- Première numéro 155
- Studio numéro 34
- Positif numéro 350
- Cahiers du Cinéma numéro 428
- Télérama numéros 2092-2147-2207
- Libération du 23/12/1994
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Diane Kurys aime bien feuilleter les albums de famille, avec ses joies et ses drames. Le drame, en l'occurrence, est celui du divorce. Le sujet n'est pas nouveau, ni son traitement. Film de femme, "La Baule Les Pins" en a la sensibilité, quelque fois la sensiblerie, souvent la misoandrie. On n'est pas forcé d'être d'accord avec le parti pris. On le sera, en revanche, sur le portrait de famille, surtout par la grâce des enfants. C'est sympathique mais d'une mélancolie déjà vue. (D.W.Graphite)
J’ai failli sortir de la salle avant la fin. Mais je me suis endormi, cela explique ma présence jusqu'au bout : ce film reflète bien le cinéma français qui se dégrade d'année en année... A quand le grand cinéma ?