OUBLIER PALERME - 1989

Titre VF OUBLIER PALERME
Titre VO Dimenticare Palermo
Année de réalisation 1989
Nationalité Italie / France
Durée 1h40
Genre DRAME
Notation 10
Date de sortie en France 14/02/1990
Thème(s)
Cinéma italien (ORIGINE)
Mafia (Cinéma italien)
Drogue -trafic- (Cinéma italien)
Elections
Réalisateur(s)
ROSI Francesco
Chef(s) Opérateur(s)
DE SANTIS Pasqualino
Musique
MORRICONE Ennio
Renseignements complémentaires
Scénario : Francesco Rosi,
Gore Vidal et Tonino Guerra .....
Dialogues : Gore Vidal
Montage : Ruggero Mastroianni
Produit par Mario et Vittorio Cecchi Gori .....
Distribution : Gaumont

Visa d'exploitation : 70 807
Acteurs
BELUSHI James
ROGERS Mimi
ACKLAND Joss
NOIRET Philippe
GASSMAN Vittorio
LEONARDI Marco
ROSI Carolina
DAVIS Harry
LEONARDI Marco
YAMAMOTO Ronald
MASE Marino
RUGINIS Vyto
MADIA Stefano
GUETTAF Alain
STELLA Tiziana
LAEZZA Luigi
BORGHESE Salvatore
LAWRENCE Claudia
HINTZ Peter
RING Beatrice
METHEWS Edwin
GILL Michael
Résumé

Carmine Bonavia, fringant homme politique new-yorkais d'origine sicilienne, est bien décidé à postuler le fauteuil de maire de la grande métropole américaine. Son programme électoral plutôt original présente entre autres un étonnant projet de légalisation de la drogue afin de saper définitivement le commerce illégal de la Mafia. Ce point de vue sera fort mal apprécié par l'ensemble de la pègre internationale qui va tenter de l'intimider lors d'un voyage-détente dans sa ville natale de Palerme...

>>> Pour une fois, James Belushi est vraiment insignifiant, inexistant. Le metteur en scène Francesco Rosi, transformé en guide touristique, méconnaissable et décevant...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 458
- Première numéro 156
- Studio numéro 35
- Positif numéro 349
- Cahiers du Cinéma numéro 429
- Télérama numéros 2092-2146-2319
Critiques (Public)
Le candidat-maire est un peu mou et l'argument du film (la jalousie) introduit de façon un peu téléscopé, mais le thème tient la route, même s'il est abordé de façon plutôt légère. Car c'est bien là le problème du film de Francesco Rosi : il est trop "américain", trop peu "sicilien". Comme son personnage, il a un problème de racines et d'âme, et comme son personnage il reste à la surface des choses. Et le regard de Vittorio Gassman, en vieux prince enfermé, pèse comme un reproche. (D.W.Graphite)